La vie de l'âne Balthazar, plongé au milieu des drames humains et qui en meurt. « Je voulais que l'âne traverse un certain nombre de groupes humains qui représentent les vices de l'humanité. Il fallait aussi, étant donné que la vie d'un âne est très égale, très sereine, trouver un mouvement, une montée dramatique. C'est à ce moment que j'ai pensé à une fille, à la fille qui se perd. »
Commentaires
Ce film m'a fait haïr Robert Bresson. A éviter si vous aimez un tant soi peu les animaux.