Based on the Novel by Henry James.
En 1872, Isabel Archer, une jeune Américaine, va rendre visite à ses cousins anglais, les Touchett. Elle les surprend par sa liberté de ton et, surtout, par son esprit indépendant. C'est ainsi qu'elle refuse successivement les propositions de mariage pourtant financièrement fort avantageuses de lord Warburton et de Caspar Goodwood, un richissime admirateur qui a traversé l'Atlantique pour déposer son amour et sa fortune à ses pieds. Isabel a d'autres centres d'intérêt. Elle ne comprend pas très bien Serena Merle, une belle compatriote qu'elle a rencontrée chez monsieur Touchett, mais tombe sous le charme de sa grâce et de son élégance. A la mort de monsieur Touchett, le fils du défunt, Ralph, a soin de léguer à Isabel une confortable rente...
Commentaires (2)
Malkovitch, plutôt passif-agressif, voire pervers narcissique vu sa 'relation fraternelle". Un petit côté Anna Karennine pour le choc à la réalité...ou Cyrano de Bergerac.... et encore, ça ... fini bien ? ...
Bon, moi, les films en costume, le XIXème, c’est pas mon truc. Jane Campion, c’est pas mon truc. Ce film confirme tout. Si c’est romantique de montrer une femme dominée tout du long par la suprématie masculine, je ne marche pas. Si c’est pour dénoncer le fait, j’ai pas accroché. Déjà, j’ai lâché très vite : on nous présente une Nicole Kidman forte et indépendante, contre le mariage et pour vivre sa vie. Très bien. Et très logiquement, elle refuse les offres de 50 beaux prétendants. Parfait. Pour aller se fourrer rapidement dans les bras d’un type moche, imbu, insupportable. Ben non, déjà là, je ne marche pas. C’est pas subtil, c’est pas crédible. Les liaisons dangereuses, oui, c’était subtil ; Barry Lindon, oui, c’était crédible et palpitant. Là, c’est un film pas crédible qui s’étire en se répétant et proposant des comédiens à un seul sentiment, Malkovitch hautain et imbu d’un bout à l’autre, Kidman larmoyante et pleurnichiante tout du long… Pas apprécié.