Quel film, quelle claque... Bienvenue en humanité : là, où c'est compliqué, dur, doux, parfois tendre. Là où l'ombre et la lumière se côtoient.
Clarisse
Vu en avant-avant première film surprise, sans aucune info sur le film qu’on allait découvrir au préalable.
J’imagine, donc, que la révélation finale est connue de la majeure partie des gens qui viennent voir le film.
Parce que bon, en soi, des mecs en prison qui montent une pièce de théâtre, c’est très banal et classique.
Alors ça se suit avec plaisir parce que c’est bien réalisé, que les personnages sont atypiques et attachants au fur et à mesure – bien que je n’ai pas eu une empathie démesurée pour eux non plus…
Mais bref, une histoire commune depuis les Choristes, Sister Act, The Full Monty et tous ces trucs où une bande de bras cassés, d’exclu, de gens qui devraient pas faire un truc et qui se lance et vont y parvenir.
Mais bien menée, bien filmée, bien jouée.
Alors évidemment, avec la découverte final, le film prend un tout autre sens et devient de fait encore plus intéressant.
Même si tout le monde ayant vu le film a dû avoir l’info, je l’avais pas, et découvrir que c’est une histoire vraie donne un peu plus de sens à l’ensemble.
Mais surtout, découvrir que la plupart des gens qui jouent dans ce film sont de vrais prisonniers qui racontent leur histoire, ça en devient beaucoup plus touchant. Surtout quand on se dit que Clarence Maclin qui finit le film ouvert, apaisé, souriant et calme, est un mec sorti de prison qui a dû y retourner et se replonger dans ce qu’il était au début…
Bref, c’est pas le film du siècle, mais le regarder avec tous les éléments en fait un moment agréable et intéressant.
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Quel film, quelle claque... Bienvenue en humanité : là, où c'est compliqué, dur, doux, parfois tendre. Là où l'ombre et la lumière se côtoient.
Vu en avant-avant première film surprise, sans aucune info sur le film qu’on allait découvrir au préalable. J’imagine, donc, que la révélation finale est connue de la majeure partie des gens qui viennent voir le film. Parce que bon, en soi, des mecs en prison qui montent une pièce de théâtre, c’est très banal et classique. Alors ça se suit avec plaisir parce que c’est bien réalisé, que les personnages sont atypiques et attachants au fur et à mesure – bien que je n’ai pas eu une empathie démesurée pour eux non plus… Mais bref, une histoire commune depuis les Choristes, Sister Act, The Full Monty et tous ces trucs où une bande de bras cassés, d’exclu, de gens qui devraient pas faire un truc et qui se lance et vont y parvenir. Mais bien menée, bien filmée, bien jouée. Alors évidemment, avec la découverte final, le film prend un tout autre sens et devient de fait encore plus intéressant. Même si tout le monde ayant vu le film a dû avoir l’info, je l’avais pas, et découvrir que c’est une histoire vraie donne un peu plus de sens à l’ensemble. Mais surtout, découvrir que la plupart des gens qui jouent dans ce film sont de vrais prisonniers qui racontent leur histoire, ça en devient beaucoup plus touchant. Surtout quand on se dit que Clarence Maclin qui finit le film ouvert, apaisé, souriant et calme, est un mec sorti de prison qui a dû y retourner et se replonger dans ce qu’il était au début… Bref, c’est pas le film du siècle, mais le regarder avec tous les éléments en fait un moment agréable et intéressant.