Claire Abel, une jeune infirmière, est retrouvée poignardée dans son appartement. La police conclut rapidement à un cambriolage qui aurait mal tourné et classe l’affaire. Cependant, un élément étrange fait ressortir le dossier : juste avant son meurtre, la victime avait porté plainte pour agression sexuelle à l’encontre de Mathieu Lecerf, un célèbre acteur d’une série policière et chouchou du public français. Autant dire, un homme intouchable. Le dossier atterrit donc logiquement dans les mains du Groupe des affaires sensibles et de son atout principal, le consultant atypique Vincent Verner. La mission de cette brigade très spéciale : s’attaquer aux puissants que personne n’ose défier. Et cette fois-ci, l’ennemi est de taille. Maître dans l’art du jeu, Lecerf est prêt à tout pour sauver sa réputation, même au pire. Dans ce jeu de dupes et de mensonges, Verner et son équipe réussiront-ils à faire émerger la vérité ?
Commentaires (2)
Difficile de trouver un film policier avec un scénario plus mince. L'histoire complète tient sur 3 lignes, résolution ridicule comprise ! Dommage, les acteurs sont bons et la réalisation créer une bonne ambiance. Le sujet de cet épisode est trop sérieux et trop sensible pour que l'on s'en contente.
Je découvre qu'il y a un 1er épisode (donc à requalifier en mini-série) avant celui-là... France 2 aurait pu mettre la redif avant... Bref. Dans le personnage d'Elbaz, je retrouve beaucoup du personnage de Tomer Sisley : Balthazar. Après ça faisait un moment que j'attendais de voir l'actrice De Maux dans un jeu plus sérieux que ceux dans lesquels les scénaristes fr l'avait cantonnée après le succès populaire de Nos Jours Heureux. Boisselier fait vivre son personnage, mais le seul truc qui colle pas, c'est que les scénaristes ont oublié de coller la caractéristique la plus toxique à ce type de pervers : le narcissisme qui les désinhibe dans l'absence d'empathie envers les victimes, et donc dans le combat agressif pour leur survie si on les accuse... Et là, le violeur, il est beaucoup trop silencieux devant la photo qui l'accuse... et peu de chance que sa complice ne se prenne pas aussi du harcèlement passif/agressif au quotidien depuis sa 1ère participation à sa névrose. Pour le reste, on est dans l'esprit du Département V, et c'est déjà pas mal.