Prier ne vous sauvera pas.
Après avoir découvert un cadavre mutilé près de leur propriété, deux frères apprennent que les événements étranges survenant dans leur village sont causés par un esprit démoniaque qui a élu domicile dans le corps purulent d’un homme. Le mal dont souffre ce dernier ne tarde pas à se répandre comme une épidémie, affectant d’autres habitants de la région.
Commentaires (3)
Sobre Simple Efficace Un peu trop old school peut être, la réf au village des damnés est flagrante mais ça se laisse regarder !
When evil lurks est un film déroutant. Nous suivons deux frères qui découvrent un corps mutilé, et voulant savoir ce qu’il s’est passé, se dirigent vers une petite habitation non loin du lieu du crime, et font face au fils ainé de la famille qui y vit, qui serait victime d’une étrange maladie, son corps pourrissant à vue d’œil, recouvert de pustules et n’attendant qu’une chose, qu’on le tue. Ce mal n’est pas inconnu car tout le monde est convaincu qu’il abriterait un « incarné », une sorte de possession démoniaque qui contamine les gens autour de lui par simple contact, jusqu’à la naissance, littéralement parlant, d’un enfant démon pour répandre le chaos, dès la mort de son porteur. A partir de cette information, je suis restée dubitative avec la suite des évènements. N'étant pas coutumière du folklore argentin, le film amorce mal son récit, les gens connaissent le Mal qui rôde, jusqu’aux autorités du Pays, mais ne font rien pour endiguer la catastrophe à venir. Eux savent, nous non, mais de ce que je comprends, ils font tout l’inverse de ce qu’il faudrait faire. A croire qu’ils cherchent volontairement à se mettre dans la mouise, c’est à n'y rien comprendre et pour ma part, très déconcertant pour apprécier mon visionnage dans l’ensemble. Certaines scènes sont vraiment pas mal, celle du chien et de la petite fille notamment, j’ai eu une petite pointe de surprise, très appréciable, mais l'histoire est trop brouillonne et s’essouffle rapidement. La tension n’est pas présente, les enjeux ne sont pas réellement concrets car nous n’avons pas vraiment un aperçu de cette « épidémie » démoniaque, trop d’incohérences également sur les décisions de nos personnages. Le duo fraternel est assez sympa mais l'émotion générale est trop fade pour que l'on s'y attache, et surtout, ils oublient les principes fondamentaux pour se prémunir du Mal en faisant tout l’inverse. La fin est donc malheureusement trop prévisible et j’ai eu un sentiment d'inachevé. When evil lurks ne tient pas ses promesses car j’attendais des scènes marquantes et sanglantes, une épidémie contagieuse bien gore, pour finalement osciller avec un banal survival dans la campagne Argentine sous fond de possession démoniaque. C’est dommage mais je vais rester attentive au travail du réalisateur, car il y a du potentiel.
2.5/5 Une première moitié excellente,ça réinvente les codes du films de possessions,on monte crescendo en tension en n’ayant pas peur de nous livrer 2,3 scènes chocs ( la scène du chien waaah elle était costaud celle la ) Mais alors la 2ème partie s’effondre..ça s’essouffle et ça devient loooong pour pas grand chose,plus de scènes marquantes pour nous retourner et ça surjoue a des moments Tout ça pour arriver a une résolution finale classique C’est dommage,on me l’avait peut être trop vendu mais ouais,assez déçu au final devant When Evil Lurks A saluer quand même la première partie,qui redonne un vent d’air frais dans les films d’horreurs