"Poor Cindarella, still ironing her husband shirt" (1978) est une boucle, un loop infini. Une ritournelle qui, davantage que sur l’acte sexuel en soi – le visage, la possession, le désir, les corps, les flux –, repose sur le principe de la cassure, sur les coupes et la manipulation du négatif que la réalisatrice inflige à une séquence par ailleurs presque banale.