Frank mène une vie respectable, marié depuis huit ans et employé d'un cabinet d'avocats de Stockholm ; mais Frank s'ennuie et trompe sa femme. S'ensuit un chassé-croisé amoureux.
Adult behavior en anglais,
Des jeux d’adultes chez Netflix (le traducteur a dû croire que c’était un vaudeville, ou voulu faire une analogie à Jeux d’enfants, raté !)
Ne vous fiez pas du tout à l’affiche Netflix qui peut laisser croire à un thriller ou à un énième drame sur l’adultère… c’est une super comédie, très culottée pour 1999. Suédoise, donc un humour très pince-sans-rire (pauvre chien, pauvre baby-sitter…tout le monde en prend pour son grade).
Les dialogues sont impayables : « Je vais prendre un verre avec elle, je ne vais pas coucher… je suis fidèle… ou alors un compromis : on fait les 2 ! »
C’est assez bavard mais vraiment bien écrit et joliment mis en scène (aaaaah l’escalator…).
L’acteur principal est aussi réalisateur et scénariste, et joue un rôle de folie, archétype du mâle occidental dans toute sa machisterie, quand bien même luthérien. C’est d’ailleurs incroyable d’avoir un scénario écrit par 2 mecs (le deuxième joue le rôle du pote artiste) qui démolisse autant les hommes et glorifie les femmes (j’adore l’air hilare de Rosie à la fin).
Un détail qui tue : on retrouve l’acteur qui joue l’amant compulsif dans le rôle du beau-père plombier de Sex education ☺️.
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Adult behavior en anglais, Des jeux d’adultes chez Netflix (le traducteur a dû croire que c’était un vaudeville, ou voulu faire une analogie à Jeux d’enfants, raté !) Ne vous fiez pas du tout à l’affiche Netflix qui peut laisser croire à un thriller ou à un énième drame sur l’adultère… c’est une super comédie, très culottée pour 1999. Suédoise, donc un humour très pince-sans-rire (pauvre chien, pauvre baby-sitter…tout le monde en prend pour son grade). Les dialogues sont impayables : « Je vais prendre un verre avec elle, je ne vais pas coucher… je suis fidèle… ou alors un compromis : on fait les 2 ! » C’est assez bavard mais vraiment bien écrit et joliment mis en scène (aaaaah l’escalator…). L’acteur principal est aussi réalisateur et scénariste, et joue un rôle de folie, archétype du mâle occidental dans toute sa machisterie, quand bien même luthérien. C’est d’ailleurs incroyable d’avoir un scénario écrit par 2 mecs (le deuxième joue le rôle du pote artiste) qui démolisse autant les hommes et glorifie les femmes (j’adore l’air hilare de Rosie à la fin). Un détail qui tue : on retrouve l’acteur qui joue l’amant compulsif dans le rôle du beau-père plombier de Sex education ☺️.