On est qui on mange
Après la mort de sa femme, un homme s’enfonce dans un abîme de terreurs nocturnes et de dépression et se retrouve dans la maison d’un cannibale dérangé qui le convainc de mettre fin à ses jours.
BetaSeries est l’application de référence pour les fans de séries qui regardent les plateformes de streaming. Téléchargez l’application gratuitement, renseignez les séries que vous aimez, et recevez instantanément les meilleures recommandations du moment.
© 2025 BetaSeries - Tout contenu externe demeure la propriété du détenteur légitime des droits.
Commentaires (2)
Waouh. Je suis totalement rentré dedans et j’ai trouvé l’ensemble bien réussi et hyper glauque, sordide, flippant. On a un côté visuel trash, qui n’hésite pas sur les éclaboussures et l’extrême. Basé sur un fait réel, ça prend encore plus d’ampleur dans l’horreur… Un parti pris qui peut déstabiliser, peut-être, un côté cartoon nawak, un jeu excessif et fou, des décors qu’on dirait sortis d’une BD punk avec des couleurs qui ont dû être criarde jadis mais qui sont devenus sales et sombres… Eh ! Ben moi, ça m’a plu. Ça pourrait rendre le truc moins crédible, décalé au point de faire sortir du film, lui donner une ampleur comique… Pour moi, ça permet de supporter tout le reste et offre l’occasion de rigoler ici ou là pour extérioriser le trop plein de glauque. Cool.
On suit l'histoire de Jed, un homme venant de perdre sa femme, qui, ne pouvant vivre sans elle et par une coïncidence déconcertante, rencontre un cannibale lui proposant ces services pour en finir, petits bouts par petits bouts. Que dire de ce film. Je suis restée très dubitative tout au long de mon visionnage. Basée sur des faits réels, je m'attendais à moins de légèreté et de grotesque. Tout d'abord la rencontre entre nos deux personnages qui n'est pas crédible, entre le mari éploré qui est partant pour se faire bouffer sans broncher et notre cuistot un poil trop loufoque pour être terrifiant. Ensuite le déroulé des événements qui par moment est glauque mais pas assez pour le sujet traité, car on sent une pointe de comédie et d'absurde qui annule l'horreur de cette histoire et enlève toute crédibilité à ce pseudo Dhamer. Et enfin, une fin que me laissera sur ma faim.