Si ce n'était pas le témoignage d'un point de vu réel sur des faits réels, j'aurai dit que c'est un mauvais remake qui rappelle trop des atrocités pédo (le guet-apens mixte dans la voiture) et verse dans les fantasmes malsains hétéro judéo-chrétiens bibliques (dédicace à la manif pour tous...) .... ah mais non non.... c'est glauque irl... Concernant la culpabilité, je veux bien croire à l'emprise psy, mais à un moment donné, elle est majeure, c'est pas une petite de 10 ans, donc légalement responsable. Aller voir un psy quand on a un pb psy, ça relève d'une responsabilité qu'un majeur doit avoir. Maturité : assumer ses actes, même leur absence. Si on veut pas, on demande la tutelle. Quant aux victimes de violences conjugales qui seraient aussi sujettes aux tueries en série, ce serait prouvé depuis longtemps... Encore une manipulation de pervers narcissique qui s'accapare des féminicides et affiliés. J'allais oublier : surprise de voir débarquer l'acteur de The Closer... dont ça aurait pu être un épisode... C'est très subjectif, mais rendre ce film plus esthétiquement 'joli' aurait été de mauvais goût si on peut dire... je ne pense pas que le message du film soit d'être subjugué par la trame ou je ne sais quoi d'autres... si ça laisse un gout amer, c'est que la forme est coordonné avec le fond. Vivement que 'relations toxiques = psy' soit aussi populaire que 'manger 5 fruits et légumes par jour'...
cobrate
Je ne sais pas vraiment à quoi je m'attendais en commençant ce film, j'ai été tentée en voyant Misha Collins et Laura Prepon à l'affiche. Leur talent s'est d'ailleurs bien vite démontré. Alors oui, ce film est long, lent, peut-être répétitif, mais j'en ai dégusté chaque seconde. Le fait de me dire que l'histoire est bien réelle a installé un malaise entre mon écran et moi, et j'ai eu du mal à me détacher de ce petit malaise. L'histoire, racontée sous le point de vue de Karla Homolka, n'est pas du tout objective mais vaut la peine d'être écoutée. J'ai eu tendance à prendre pitié de cette femme enracinée dans la relation destructrice qu'elle mène avec Paul Bernardo. Bien que les faits et analyses psychologiques soient présentes à la fin du film, je ne sais toujours pas ce que je pense de sa culpabilité tant le film m'a perturbé. Il est rare qu'un film puisse me perturber à ce point, dans le bon sens...
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Si ce n'était pas le témoignage d'un point de vu réel sur des faits réels, j'aurai dit que c'est un mauvais remake qui rappelle trop des atrocités pédo (le guet-apens mixte dans la voiture) et verse dans les fantasmes malsains hétéro judéo-chrétiens bibliques (dédicace à la manif pour tous...) .... ah mais non non.... c'est glauque irl... Concernant la culpabilité, je veux bien croire à l'emprise psy, mais à un moment donné, elle est majeure, c'est pas une petite de 10 ans, donc légalement responsable. Aller voir un psy quand on a un pb psy, ça relève d'une responsabilité qu'un majeur doit avoir. Maturité : assumer ses actes, même leur absence. Si on veut pas, on demande la tutelle. Quant aux victimes de violences conjugales qui seraient aussi sujettes aux tueries en série, ce serait prouvé depuis longtemps... Encore une manipulation de pervers narcissique qui s'accapare des féminicides et affiliés. J'allais oublier : surprise de voir débarquer l'acteur de The Closer... dont ça aurait pu être un épisode... C'est très subjectif, mais rendre ce film plus esthétiquement 'joli' aurait été de mauvais goût si on peut dire... je ne pense pas que le message du film soit d'être subjugué par la trame ou je ne sais quoi d'autres... si ça laisse un gout amer, c'est que la forme est coordonné avec le fond. Vivement que 'relations toxiques = psy' soit aussi populaire que 'manger 5 fruits et légumes par jour'...
Je ne sais pas vraiment à quoi je m'attendais en commençant ce film, j'ai été tentée en voyant Misha Collins et Laura Prepon à l'affiche. Leur talent s'est d'ailleurs bien vite démontré. Alors oui, ce film est long, lent, peut-être répétitif, mais j'en ai dégusté chaque seconde. Le fait de me dire que l'histoire est bien réelle a installé un malaise entre mon écran et moi, et j'ai eu du mal à me détacher de ce petit malaise. L'histoire, racontée sous le point de vue de Karla Homolka, n'est pas du tout objective mais vaut la peine d'être écoutée. J'ai eu tendance à prendre pitié de cette femme enracinée dans la relation destructrice qu'elle mène avec Paul Bernardo. Bien que les faits et analyses psychologiques soient présentes à la fin du film, je ne sais toujours pas ce que je pense de sa culpabilité tant le film m'a perturbé. Il est rare qu'un film puisse me perturber à ce point, dans le bon sens...