If these walls could talk... they would shriek!
Anthony Montelli est tout fier d'avoir pu acquérir cette grande et somptueuse maison de style colonial à Amityville, pas très loin de New York. Les Montelli ont quatre enfants : Mark et Jan, les plus jeunes, puis Johnny et Patricia qui sont plus âgés. Les premiers incidents sont attribués au stress et à l'énervement du déménagement et de l'emménagement. Mais, très vite, la maison semble jouer un rôle maléfique dans le comportement de Johnny...
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Commentaires
Bon, alors là, faut vraiment le regarder avec des potes pour rire du lit qui tourne, des objets qui tombent tout seul ou du mauvais masque en pseudo latex à la fin… On frise un ridicule qui a pu impressionner dans les années 80 mais qui est totalement risible dans ce film qui se prend au sérieux en réussissant à être une parodie de lui-même… Après, l’histoire est on ne peut plus banale, un possédé, un exorcisme, une fin… Avec cependant ce côté vieillot où le père bat ses enfants… Et puis une petite couche d’inceste gratuite dans le tout, pour faire bien glauque… Franchement, si on n’est pas une bande à regarder pour commenter en rigolant, c’est assez nul comme film.