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Réalisation
Clovis Cornillac
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Scénario
Pierre Lemaitre
- Durée 2 heures 15 minutes
- Genres Histoire, Drame
- Langue Français
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Dernière mise à jour
8 novembre 2024 - 02:11
sur 11 bases de données
Couleurs de l'incendie
Quand une femme hérite d'un empire financier peut-elle résister à la convoitise des hommes ?
Février 1927. Après le décès de Marcel Péricourt, sa fille, Madeleine, doit prendre la tête de l'empire financier dont elle est l'héritière. Mais elle a un fils, Paul, qui d'un geste inattendu et tragique va la placer sur le chemin de la ruine et du déclassement. Face à l'adversité des hommes, à la corruption de son milieu et à l'ambition de son entourage, Madeleine devra mettre tout en œuvre pour survivre et reconstruire sa vie. Tâche d'autant plus difficile dans une France qui observe, impuissante, les premières couleurs de l'incendie qui va ravager l'Europe.
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Commentaires (6)
Je n’ai vraiment pas compris pourquoi Madeleine veut se venger de Gustave. Plus d’une fois il l’a mise en garde contre le pétrole roumain. Elle ne l’a pas écouté. Elle s’est ramassée et lui met tout sur le dos. Bref, l’héroïne n’est pas assez sympathique pour qu’on soit complètement de son côté, et c’est dommage.
Pas excellent, loin d'être mauvais. Y a un peu trop de longueurs et un certain déséquilibre surtout que l'histoire est très prévisible surtout quand on connaît un peu l'œuvre générale de Lemaitre (je l'ai pas lu celui là). Avec un petit régime, et une réal un peu plus soignée, le film aurait été beaucoup plus engageant. En l'état, ça reste plaisant à regarder, mais après Au Revoir Là Haut, ça fonctionne clairement moins.
cette histoire vraie est pas 'mal' (quand on sait ce que l'un des 3 a fait pendant la guerre... c'est moins hype) mais dans la première partie, le montage laisse trop de silences 'vides' et les effets spéciaux ne sont pas appropriés (mon avis). On dirait, dans la forme, une copie des films de Jeunet... Du coup, on peut lâcher le film alors que la seconde partie est bien meilleure dans sa forme. Le coup de l'Opéra, ça m'a fait penser à D. Kruger en Bridget von Hammersmark ...Et, hasard, ça ma fait penser au Frankestein rouge... bien plus glauque...
Sympa mais assez décousu et trop de longueurs…
Romancé, exagéré, Clovis Cornillac signe ici un film avec une intrigue un peu trop attendue, et devinable ! C’est un film assez, mou malgré le fait qu’il se passe pas mal de chose. Quelques scènes toutefois sympas, une histoire pas banale, et quelques rebondissements intéressants, quoi que trop théâtralisés à mon goût ! Les acteurs surjouent un peu trop à mon goût, Poelvoorde par exemple, j’ai toujours eu du mal mais là c’est personnel..