Évocation de la vie de Serge Alexandre, dit « Stavisky », mène grand train de vie, et est propriétaire de différentes affaires. En 1926, Alexandre s'emploie à couvrir les dettes qu'il a accumulées petit à petit lors de ses diverses opérations financières, en activant d'autres opérations « juteuses », à l'instar d'une nouvelle entreprise avec sa côtation en bourse garantie par l'État lui-même, et un autre commerce d'armes. Le gouvernement y trouve ses intérêts financiers et d'autres nature. Un seul homme en France semble s'intéresser à la vraie nature des affaires d'Alexandre : l'inspecteur principal Pierre Bonny. C'est l'affaire des bons tirés sur le crédit municipal de Bayonne qui sonnera, en décembre 1933, le début de la fin « Stavisky ». Mais l'homme en sait trop quant aux différents membres du gouvernement, faut-il le laisser en vie ? En janvier 1934 dans un chalet de Chamonix, la décision sera prise...
Commentaires
J’aime Resnais, j’aime Bébel… Mais il faut avouer que là, Resnais s’est emparé d’un personnage peut-être marquant mais sans réussir à transcender l’ensemble. Les scènes s’enchaînent, Belmondo bavasse, on ne comprend pas où est l’arnaque et comment elle est formidable, on voit juste un type qui vit au-dessus de ses moyens et séduit en réalité juste ses trois mêmes potes… Pas d’éclat, pas d’ampleur, c’est poussif et pas intéressant. Déception.