Pas de douleur, pas de règne.
Noël 1877, Élisabeth d’Autriche (Sissi), fête son 40e anniversaire. Première dame d’Autriche, femme de l’Empereur François-Joseph Ier, elle n’a pas le droit de s’exprimer et doit rester à jamais la belle et jeune impératrice. Pour satisfaire ces attentes, elle se plie à un régime rigoureux de jeûne, d’exercices, de coiffure et de mesure quotidienne de sa taille. Etouffée par ces conventions, avide de savoir et de vie, Élisabeth se rebelle de plus en plus contre cette image.
Commentaires (4)
Des biographies et faits historiques que j'ai lus, ce film est ce qui lui ressemble le plus Une femme trop en avance sur son temps, les hommes qui l'entouraient pas assez dans son avant-garde Les héritiers en paieront le prix : politique, économique et humanitaire, avec l'assassinat de Sarajevo déchanchant la 1ère guerre mondiale (pour la géopolitique générale. Côté français, rajouter la vanité et l'orgueil après Sedan). Je croyais pourtnt qu'elle n'avait pas eu l'autorisatio d'éléver ses enfants, prérogative autp-désignée de et par sa belle-mère archiduchesse.... D'un certains côtés, Lady Di lui a un peu ressemblé. Et Romy Schneider... loin du Sisi princesse masculino-cliché.
regarder ce film est un acte de courage que je me suis infligé, en perte
Je ne saisis pas l'appropriation d'un personnage historique pour construire une histoire féministe. Sissi a existé et ce que l'on voit là n'est pas du tout sa vie. La transposition rend le propos absurde.