Le mâle engendre le mal
Après avoir vécu un drame personnel, Harper décide de s’isoler dans la campagne anglaise, en espérant pouvoir s’y reconstruire. Mais une étrange présence dans les bois environnants semble la traquer. Ce qui n’est au départ qu’une crainte latente se transforme en cauchemar total, nourri par ses souvenirs et ses peurs les plus sombres.
Commentaires (8)
J’aimais bien. Chouette ambiance, un peu de mystère, un rythme lent mais qui allait bien avec l’ensemble… Et puis après une bonne heure, ça part dans des trucs bien chelou qui m’ont carrément dépassé et où j’ai rien capté. Je reste comme une poule devant un couteau… Perplexitude.
Je n'ai rien compris au film...
Non.
Long et m'a fait l'effet d'un pétard mouillé... Vraiment pas terrible à part pour la photo... Le trip féministe ne joue pas en faveur du film..
Ça le fait Men !
Alex Garland et A24,c’était obligé que ça allait être une grosse claque. Men est incroyablement dérangeant,avec une tension qui ne fait que de monter crescendo et toujours constante La musique est parfaite et colle parfaitement avec le ton du film L’ambiance est sombre,glauque,malsain et la fin est,je crois bien,l’une des fins qui m’a le plus retourné la tronche tellement je ne croyais pas ce que je voyais Clairement la fin est cauchemardesque et ultra malsaine Le thème est bien amené et développe tout au long du film,les côtés sombres de l’homme Kinnear est magistral en l’homme dérangeant et effrayant Buckley joue à merveille également Bref,Men est une immense claque comme rarement vous allez vous en prendre une C’est 1h40 de gifle autant visuellement que dans le scénario Pour moi,c’est son meilleur film à Alex Garland,il a touché très très haut la
Alex Garland sous l'égide A24 nous délivre encore une put**n de claque, Men est à couper le souffle. Tant niveau visuel et cinématographique (le vert ultra saturé, le orange des flashbacks, la qualité de la composition d'image), que niveau performance du duo Kinnear/Buckley, qu'au niveau des thèmes ou de la musique, tout est phénoménal. Entre tension insoutenable, body horror ultra malaisant et dénonciation des torts masculins, Men nous offre 1h40 hors de tout et ne peut laisser de marbre. C'est phénoménal.