Charles, jeune provincial sérieux et travailleur, débarque à Neuilly chez son cousin Paul, cynique et grand séducteur. Tous deux travaillent leur droit. Charles tombe alors amoureux de Florence, mais Paul en fait sa maîtresse...
J’ai pensé parfois aux fastes délirants de la Dolce Vita pour les soirées délirantes – mais ici, c’est fade et bavard.
J’ai pensé à du Hitchcock, comme dans la corde – mais ici, c’est plat et bavard.
J’ai pensé à divers triangles amoureux de divers films – mais ici, c’est plombant et bavard.
Gérard Blain m’a fait penser à Brel dans certains film – mais en inintéressant et bavard.
J’ai même pensé au rat des villes et celui des champs – mais sans morale qui vaille le coup. Et bavard.
Bref, ce film s’étire dans le bavardage et l’inintérêt.
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J’ai pensé parfois aux fastes délirants de la Dolce Vita pour les soirées délirantes – mais ici, c’est fade et bavard. J’ai pensé à du Hitchcock, comme dans la corde – mais ici, c’est plat et bavard. J’ai pensé à divers triangles amoureux de divers films – mais ici, c’est plombant et bavard. Gérard Blain m’a fait penser à Brel dans certains film – mais en inintéressant et bavard. J’ai même pensé au rat des villes et celui des champs – mais sans morale qui vaille le coup. Et bavard. Bref, ce film s’étire dans le bavardage et l’inintérêt.
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