L’équipe de la Crim est appelée à la fac de médecine. Un corps de femme, avec une trace de coup laissant supposer un meurtre, se trouve par erreur avec les corps donnés à la science. Ce corps d’inconnue a été placé là par le tueur. Mais qui ? Quelqu’un qui avait forcément accès à la faculté de médecine. Et qui est cette femme, sans objets, sans rien pour l’identifier ? Julia et Novak vont redoubler d’efforts pour comprendre ce qui lui est arrivé. L’enquête les poussera jusqu’à chercher la filiation de cette femme. Et ils ne sont pas au bout de leurs surprises. En parallèle de l’identification de cette femme, Novak poursuit son enquête sur l’identité de sa fille. Il touche au but et arrive même à l’observer à distance. Emporté par son envie de découvrir cette enfant, Novak en oublie qu’en faisant cela il la met peut-être en danger. Car un certain Malherbe rode toujours...
Avec Télé 7 Jours, découvrez le programme qui fait l’actu. Après le final haletant de la saison 1, Vise le cœur, la série portée par Claire Keim et Lannick Gautry est de retour sur TF1 à partir du jeudi 12 octobre 2023 pour une deuxième saison inédite. Dans le premier épisode diffusé à 21h10, le corps d’un juge d’instruction est retrouvé au bois de Saint-Cloud, empoisonné à l’aconit, fleur très toxique communément nommée « la plante tue-loup »….
« J’adore Novak et sa façon de ne pas se prendre au sérieux, tout en l’étant… » confie Lannick Gautry à télé 7 jours, à propos de son personnage. Et de poursuivre : « Il reste marqué par le poids du passé, mais, pour lui, c’est le début d’autre chose. Ce qui est intéressant, c’est de voir comment il réagira à ce que la vie lui envoie. Car elle lui mettra encore quelques coups… »
Les téléspectateurs retrouveront prochainement le comédien dans une autre fiction de TF1, Attraction, dans laquelle il jouera… un tueur en série ! « Peut-être qu’en vieillissant, je deviens inquiétant ! s’amuse-t-il (Rires). En tout cas, je trouve ces rôles complexes et intéressants. Quand on incarne un méchant, il faut jouer sur sa « norma- lité » pour créer la tension et le sus- pense. C’est comme dans les faits divers : les voisins de criminels ne les soupçonnent jamais. »