Brick participe à une étrange journée d'arrestation où chaque élève arrêté doit être libéré contre une somme d'argent reversé à une association caritative. Il s'arrête lui-même puisque personne ne semble s'intéresser à lui mais comme aucun élève ne le libère, il finit par passer la nuit dans sa cellule jusqu'à ce que Sue, de retour de son week-end ne le libère en payant les cinq dollars que Mike lui a offert. Le reste de la famille rencontre les riches parents de Lexie que Mike ne peut pas supporter puisque lui passe pour un loser à côté de leur fortune. Mais tout change quand ils sont invités à venir passer le week-end dans l'une de leurs propriétés et que Mike a droit au meilleur moment de sa vie alors que Frankie tombe malade.
Dans cette reco du weekend, petit retour dans le passé avec That 70s Show, mais aussi avec Tout le monde déteste Chris pour finir sur The Middle (à ne pas confondre avec Malcolm in the Middle), avec trois générations différentes de familles américaines de la classe moyenne.
1998, démarre une sitcom américaine qui va devenir rapidement culte. Si vous aviez raté l’info, Netflix prépare une suite intitulée That 90s Show avec les enfants d’Eric et Donna (qui forment l’un des rares couples à se retrouver de la plus belle des façons) mais également avec l’équipe de That 70s Show et de nombreuses anciens sont de la partie (en gros, tout le monde). Aucune date n’a été annoncée pour le moment mais en tout cas, le projet est bien en cours.
Revenons à notre sitcom culte. C’est une bande de six ados qui vivent leurs meilleures vies dans le Wisconsin des années 70 en plein courant hippie. On y retrouve Topher Grace, Laura Prepon, Mila Unis et Ashton Kutcher notamment, qui ont été propulsés sous le feu des projecteurs grâce à la série. Huit saisons où les personnages ont connu des peines de cœur, où ils ont mûri aussi, toujours dans l’humour. On retrouve les cas classiques des sitcoms avec des personnages un peu stéréotypés mais la bande principale est assez attachante pour que la série puisse parler à tout le monde. Les parents n’y vont pas de main morte non plus, et la sitcom nous donne un petit goût de la vie américaine de l’époque.