Paula se montre désabusée par la famille Mossbacher. Nicole reproche à Mark d'avoir révélé certains détails à Quinn.
Partir sur une île est très souvent synonyme de vacances idylliques. Des vacances qui ont pour toile de fond du sable blanc, une mer transparente et un farniente particulièrement attendu. Pourtant, avec La Palma, The White Lotus et Saint X, les trois séries choisies pour la reco de la semaine, ces voyages d’apparence paradisiaque se transforment rapidement en mauvais rêve éveillé qu’une eau bleue ou un bronzage parfait ne sauraient rattraper.
Sortie le 12 décembre sur Netflix, La Palma a rapidement accumulé des milliers d’heures de visionnage pour caracoler en tête du top 10 de la célèbre plateforme de streaming. Le pitch ? Une famille de touristes norvégiens décide de passer les vacances de fin d’année à La Palma, une des îles Canaries. Tout se passe pour le mieux pour Fedrik (Anders Baasmo Christiansen), Jennifer (Ingrid Bolsø Berdal) et leurs deux enfants, Sara (Alma Günther) et Tobias (Bernard Storm Lager), jusqu’à ce que des géologues, Marie (Thea Sofie Loch Næss) et Haukur (Ólafur Darri Ólafsson) ne réalisent que se prépare une éruption volcanique catastrophique pour les nombreux voyageurs présents sur l’île. Se lance alors une véritable course contre la montre autant pour les scientifiques qui doivent convaincre leurs supérieurs de la gravité de la situation que pour la famille qui lutte pour ne pas être séparée. Créée par Harald Rosenløw Eeg (The Wave, Ultimatum) et Lars Gudmestad (Buddy, Headhunters), La Palma se décline en 4 épisodes oscillant entre 39 et 50 minutes, aisément dévorés en une demi-journée !
Si la troisième saison de The White Lotus, qui se déroulera cette fois en Thaïlande, est attendue pour le 17 février sur la plateforme Max, il n’est jamais trop tôt pour visionner ou de nouveau regarder les deux premières saisons de la série créée par Mike White ! La fiction dépeint à chaque fois le séjour plus ou moins cauchemardesque de touristes dans l’un des établissements de la chaîne hôtelière, The White Lotus. Les premiers épisodes se déroulent à Maui, une île située dans l’archipel d’Hawaï, alors que l’intrigue de la seconde saison se situe en Sicile. Les personnages, tour à tour détestables, malhonnêtes ou simplement maladroits, les dialogues ciselés et l’humour toujours bien distillé, ont fait de The White Lotus un succès télé incontestable. Au-delà de l'adhésion publique, la fiction a également reçu de nombreuses récompenses de la part des critiques, dont l’Emmy Award 2022 et le Golden Globe 2023 de la meilleure mini-série, en plus d’avoir permis à des talents comme Jennifer Coolidge ou Sabrina Impacciatore d’éclater au grand jour.
Commentaires (15)
Qu'est-ce que je déteste Jennifer Coolidge et le personnage qu'elle incarne. Chacune de ses apparitions à l'écran rend l'épisode un peu plus insupportable.
Kai mais pourquoi tu le fais si tu dis que tu n’es pas un voleur… c’est lui qui va tout prendre. J’ai l’impression que Rachel a compris ce qui l’attendait avec ce mariage. Elle se barre à la fin ?
J’ai moins aimé cet épisode qui est beaucoup moins drôle que les précédents. Il n’est pour autant pas mauvais, il est plus reflechi, plus profond.
J’adore toujours cette série. Je me laisse totalement aller par cette excellentissime musique et les personnages super bien construit. Du coup, les histoires ne sont pas super marquantes, la bourge rencontre un mec, le fils délaisse les écrans pour ramer en bateau, on organise un petit vol, la mère s’incruste à la lune de miel… Mais les personnages étant bien exploités, les relations entre chaque sont assez réjouissantes.
L'épisode moins drôle de la saison mais justement ca permet d'équilibrer et donner de la substance aux personnages, c'est une bonne démarche. C'est vrai que les mariés sont dans une situation assez spéciale que je m'expliquais pas au début puisqu'elle l'avait clairement pas épousé pour son fric... au final elle se rend juste compte un peu trop tard de la réalité de cette union et c'est assez triste faut le dire... bref, le cynisme et la satire sont toujours présents sous un autre angle et j'aime toujours autant le côté neutre qu'ils ont sur le terrain societal, une vue d'oiseau un peu, c'est finement mené. Plus qu'un déjà !
Mouais... Rachel ne découvre qu’après le mariage que son partenaire est un imbécile ?
Le climax approche… tout est génial dans cette série, à commencer par l’ambiance musicale !
Malaisant, pervers… humain. White observe ses personnages comme un gamin qui arrache les ailes d’une mouche et les regarde se débattre. Et cette musique qui accompagne les montées ou les baisses de pression… un régal ! On attend le bouquet final…
La série est déjà bizarre mais cet épisode est étrange...
J’adore, tout part en cacahuète. Ça manquait un peu d’humour quand même. J’aime bien « l’antiwokisme » du père.
Mois drôle ; voire malaisant.