Jean-Claude Delplanque est retenu dans une chambre froide située dans un rayon de 150 km aux alentours de Calais. D'après la vidéo envoyée par le mystérieux tueur, Élise pense que l'otage se trouve près d'une voie ferrée. Le « Terroriste de la Vérité » finit par demander une rançon en échange de la vie du militaire.
La quatrième et dernière saison de The Bridge (ou Bron en suédois) , disponible sur arte.tv du 21 novembre 2025 au 16 novembre 2026, vient clore en beauté l’un des plus grands monuments du scandinoir. Saga Norén, acquittée du meurtre de sa mère, retrouve Henrik Sabroe pour une enquête aussi violente que labyrinthique, tandis que les trois premières saisons de la série sont également proposées en intégralité sur la plateforme.
Série culte suédo-danoise, Bron/Broen (aussi connue sous le titre The Bridge) a marqué durablement le paysage télévisuel international grâce à son concept transfrontalier et son écriture ciselée. Créée par Hans Rosenfeldt, elle a inspiré plusieurs adaptations, dont Tunnel à la frontière franco-britannique, et demeure un pilier du Nordic Noir aux côtés de The Killing ou Trapped. Son héritage repose autant sur la tension de ses enquêtes que sur la finesse psychologique de ses personnages. Si les premières saisons mettaient en scène le duo Saga Norén / Martin Rohde, c’est avec Henrik Sabroe que l’inspectrice la plus iconique de Scandinavie poursuit désormais son chemin, dans un récit encore plus sombre.
Dans cette ultime saison, l’affaire qui secoue le détroit d’Öresund débute par un meurtre particulièrement brutal, lié aux tensions autour de la politique migratoire danoise. Henrik tente de surmonter la disparition non résolue de ses filles, tandis que Saga lutte contre des crises d’angoisse qui fissurent son armure. Comme souvent dans Bron, l’enquête dépasse rapidement le cadre du simple polar pour aborder des enjeux sociaux brûlants, dans une atmosphère froide et tendue qui a fait la renommée du genre. La série continue ainsi de décortiquer les failles entre la Suède et le Danemark, comme elle le faisait déjà lorsqu’elle explorait les inégalités sociales, l’éco-terrorisme ou la corruption dans ses saisons précédentes.
Commentaires (7)
Je n'en peux plus de cette série que je trouve *très* en-deça de l'original (Bron/Broen)... Allez hop, aux oubliettes (archivée)
Oulala....Le type se paie le luxe d'éviter les balles d'hommes entraînés à de telles situations...pas très crédible tout ça, il pourra postuler au remplacement de Daniel Craig plus tard...sans parler des gars du GIGN sans pare-balles...bref passons. Je me demande comment ils vont relier la type au katana avec l'intrigue principale. Curieux également de connaître les prochaines vérités ahah. Très caricaturé le personnage d'Elise...un poil trop à mon goût même si je pense qu'elle va aller en s'améliorant au fil des épisodes...ou pas.
Haha n'importe quoi quand ils tombent sur la plantation ^^
Que de conneries dans cet épisode.
Je pense que le samouraï...est le TV!
Effectivement les analyses du train m'ont fait bien rire personnellement. Sont forts quand même. Puis ils font ça vite. Et oui, le mec seul face a tout un groupe de gars surentraînés pour le job qui arrive a en degomer plusieurs et a s'échapper .. Ça m'a laissé perplexe. J'espère que le malade mental ne va pas tuer la fille qu'il héberge. Bref malgré ça j'adore la série et son atmosphère.. Hâte de voir ou ça va mener.
L'analyse des vibrations jusqu'à l'écoute du son par un "autiste" des trains, je dois dire que cette partie de l'enquête m'a bien plu. J'ai moins aimé quand un gars seul arrive à échapper à un groupe du genre GIGN. Reste encore cet homme qui vit dans l'appart complètement délabré qui se prend pour un samouraï... je reste curieux !