- Sortie originale
- Épisode précédent S01E04 - “The Day of The Girls”
- Numéro S01E05
- Pays États-Unis
- Genres Drame, Science-fiction
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Dernière mise à jour
10 mars 2025 - 17:14
sur 11 bases de données
“Scarlet Minnow”
L'E.G.O est transmis à des femmes adultes dans le monde entier. De nouvelles voix émergent. Certaines voient dans le Pouvoir la promesse d'un futur plus équitable. D'autres le vivent comme une menace à leur existence même. Ces forces opposées peuvent briser les liens les plus forts... Ou créer de nouvelles alliances improbables.
Et si un jour toutes les jeunes femmes obtenaient un pouvoir particulier qui leur permettait de maîtriser l’électricité ? Et si les hommes prenaient peur dans une société patriarcale ? C’est l’idée de base de The Power, adaptée du roman de Name Alderman qui réinvente les dynamiques de pouvoirs.
L’intrigue se déroule dans le monde entier, ce qui n’est pas sans rappeler les ensembles chorales à la Sense8. Les personnages auront chacun un destin différent, de la fille d’un politicienne ambitieuse à un journaliste qui veut faire ses preuves en passant par la femme trophée qui veut prendre sa revanche, les frontières n’existent plus devant le soulèvement des femmes.
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Commentaires (3)
De très belles scènes encore dans cet épisode : la libération des esclaves sexuelles, le partage (de pouvoir mais aussi juste le partage d'un bon moment, un échange) entre Jos et sa mère. Le couple de la mairesse me paraissait costaud dans l'épisode 2, finalement il s'effrite assez vite. Je comprends le choix du mari de leaker les documents. Cette idée de castration chimique "secrète" était trop insoutenable, surtout pour un médecin comme lui qui semble profondément humaniste. C'est un vrai questionnement ce traitement. Car oui certaines filles et femmes souhaiteraient peut être en être débarrassées, et oui peut être que ce pouvoir chez des femmes psychopathes, sociopathes, bah faudrait leur en priver. Mais comment, politiquement, s'assurer que ce soit fait dans des conditions claires, pour les femmes et pas contre elles ? Comment être sûrs de respecter le choix des femmes, et pas leur imposer ?
J’ai pas les mots… Grandir sans avoir peur de rentrer tard dans la nuit (le speech de la jeune Jos), sans se poser la question des vêtements que l’on porte ni couper la musique dans nos casques (pour pouvoir rester attentive) mais en gardant nos casques (pour pouvoir prétendre qu’on n’entend pas un gros lourd qui traîne). C’est tellement libérateur d’imaginer avoir ce pouvoir !