Le temps presse pour Ed et l’équipage qui tentent de sauver les quelques survivants sur une planète sur le point d’être détruite par son soleil. Pendant ce temps, Bortus et Klyden commencent une thérapie conjugale quand l’obsession de Bortus pour la salle de simulation du vaisseau devient ingérable.
Dans cette reco du weekend, voici trois séries qui vont vous rappeler pourquoi les sériephiles ont tous un nerd en nous.
Avec déjà trois saisons à son actif, The Orville a mis un peu de temps pour trouver son ton. Si la première saison peinait à exploiter la dynamique entre les personnages, la saison deux et trois embrassent entièrement la parodie pour offrir un humour de meilleure qualité. Bien sûr, on reste dans un produit de Seth MacFarlane, c’est-à-dire sans grande subtilité, mais dont la formule fonctionne tout de même. Allez explorer la galaxie à bord de l’USS Orville mené par le capitaine Ed Mercer (MacFarlane lui-même) secondé par Kelly Gracer (Adrianne Palicki). Une équipe de bras cassés comme on les aime qui illustre parfaitement la différence entre bêtise et génie.
Cet hommage à Star Trek ressemble à une parodie mais elle partage avec son mentor cette réflexion de la tolérance envers la vie extraterrestre. Enfin, de base, The Orville reste une comédie bien ancrée dans la culture américaine. Mais qu’on aime ou qu’on aime pas Seth MacFarlane, il faut reconnaître que sa créativité ne connait pas de limite. L’homme derrière American Dad a su créer un univers riche en références de science-fiction qui ne fait que s’étoffer.
Il y a assez peu de comédie dans l’univers de la science-fiction pour que The Orville soit à part. On va citer également Resident Alien qui est diffusé actuellement sur SyFy.