- Sortie originale
- Épisode précédent S02E04 - Emilie
- Numéro S02E05
- Pays Royaume-Uni
- Genres Aventure, Drame
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Dernière mise à jour
27 septembre 2020 - 23:15
sur 11 bases de données -
The Return
Athos, qui a renoncé à son titre, est kidnappé par ses anciens sujets qui lui apprennent que son voisin, le baron Renard essaye de récupérer ses terres. Au début Athos est indiffèrent au sort des villageois, mais après avoir discuté avec la veuve de son frère, Athos change d'avis et accepte d'aider les habitants à s'entraîner pour protéger leurs terres.
Si le film Les trois mousquetaires vient de sortir en France avec des trésors nationaux comme têtes d’affiche, en 2014, la BBC produisait la série The Musketeers. Inspirée du roman classique d'Alexandre Dumas, la série suit les aventures du jeune D'Artagnan et des mousquetaires Athos, Porthos et Aramis dans la France du XVIIe siècle. Côté série, le casting n’était pas non plus à rougir puisqu’on y retrouvait le jeune Luke Pasqualino post Skins dans le rôle de D'Artagnan, Tom Burke, Howard Charles et Santiago Cabrera complétaient les mousquetaires et Peter Capaldi représentait leur grand ennemi Richelieu. En trois saisons, cette série de cape et d’épées a su charmer ses spectateurs.
La série créée par Adrien Hodges (qui malheureusement n’a plus rien fait depuis) est disponible dans son intégralité sur RTL play.
Avec cette série, plongez directement dans la France du XVIIe. Les costumes riches, les accessoires des plus détaillés, des décors authentiques, on peut dire que toute l’ambiance de l’époque est reconstituée. Et quand on pense aux mousquetaires, on imagine leurs duels à l’épée et leurs cascades téméraires, et la série propose plusieurs scènes d’action chorégraphiées dans la plus grande des précisions. Que ce soit au mousquet ou au fleuret, ça va bouger. On reste sur un period drama anglais, c’est-à-dire qu’il y a du drame et de la romance en plus. En revanche, ne comptons pas trop sur The Musketeers pour être une reproduction historique exacte.
Commentaires (6)
athos est un vrai batard... Mais totalelent mignon quand même mdr
Quand les 4 mousquetaires se prennent pour les 7 samouraïs (ou les 7 mercenaires) ...
Beaucoup aimé cet épisode aussi, sans doute parce que j'adore Athos.
Et bien moi j'ai beaucoup aimé l'épisode. Déjà parce qu'Athos est mon personnage préféré. Son passé, son côté "ours blessé", sa fierté, son histoire avec Milady... tout ça ne fait un personnage très intéressant. Ensuite parce que j'ai eu l'impression de voir un western dans le genre des 7 mercenaires avec cette intrigue de terres assiégées par le seigneur voisin, sans compter la musique qui en avait parfois des faux airs. Les scènes de combat ont été un peu longues par moment, mais dans l'ensemble, je ne me suis ennuyée. Le seul reproche que je vais avoir concerne la cohérence avec la saison 1. Il me semble (mais je n'ai pas revu l'épisode en question) que Athos est déjà retourné plus ou moins sur ses terres dans la 1re saison, alors que Aramis était sérieusement blessé (ils devaient ramener un prisonnier ou un espion). Pour soigner Aramis, Athos les emmène se cacher dans son ancien chateau : c'est là que D'Artagnan apprend la vérité sur Milady, sur le meurtre du frère d'Athos. Or, si c'était le même chateau, il aurai du y croiser Catherine... Bref, une petite incohérence qui m'a fait tiquer.
Cette saison me passionne moins que la première, surtout quand on s'éloigne de la cour et de ce qu'il s'y passe. J'ai carrément fait de l'avance rapide sur certains passages, car j'ai trouvé ça trop long. Il me semble pas quand dans la saison 1 le côté un épisode/un mousquetaire était si présent, ou c'est moi ? Car je trouve ça un peu lassant, on sait déjà que le prochain sera sur Porthos et son père et celui d'après sur D'Artagnan et son amoureuse.
Je l'ai trouvé très très long, cet épisode. J'ai cru à la moitié de l'épisode qu'on en était quasi à la fin. On pédale dans la semoule et puis alors, dans cette version, Milady a tué le frère de son mari... Faut toujours lui donner une raison à son exécution (ratée, de surcroit)... Et jamais la même.