Pour gagner une affaire, Shaun doit choisir une avocate afin de le représenter. Son choix se porte sur une jeune avocate remplie de TOCS.
On sait que les fans peuvent être difficiles à satisfaire, surtout lorsqu’il s’agit d’une œuvre aussi bien aimée qu’Avatar, le dernier maître de l’air, le dessin animé de Nickelodeon. Comme pour One Piece, ce serait vraiment une erreur de ne pas laisser une chance à cette adaptation en live action qui conserve bien l’essence de la série, les dilemmes moraux d’un jeune garçon qui a tout perdu et qui doit porter un fardeau bien trop lourd pour ses épaules. Dans un univers fortement inspiré du folklore chinois, où quatre royaumes symbolisant le vent, l’eau, le feu et la terre, vivaient en harmonie, un jour, l’un des royaumes et maître de l’élément feu a décidé de conquérir les autres royaumes. Pour les contrer, il n’y a véritablement qu’un seul ennemi, l’Avatar, maître des quatre éléments. Ce rôle est réincarné cycliquement dans chacun des éléments et actuellement, il s’agit d’Aang, un jeune apprenti moine au temple de l’air. Pour tuer l’Avatar, la Nation du feu décide de décimer tous les maître de l’air… Aang réussit à en échapper indemne par hasard, mais il se retrouve bloquer pendant 100 ans dans un bloc de glace. L’histoire commence quand un frère et une sœur le libèrent de son glaçon pour partir pour une grande quête. Les huit épisodes de la saison 1 d’Avatar, le dernier maître de l’air, sont à découvrir sur Netflix.
C’est vrai que le film adapté par M. Night Shyamalan avait laissé un goût amer en bouche. L’annonce d’une série live action avait plutôt été accueillie avec enthousiasme, en sachant que les créateurs originaux de l’animation Michael Dante DiMartino et Bryan Konietzko, faisaient partie de l’aventure. Des différends artistiques les ont fait se retirer du projet, pour finalement laisser la place à Albert Kim. Certes, en huit épisodes il n’y a pas tout ce qu’il y avait dans l’animation dont la saison 1 était composée de 20 épisodes, mais les personnages sont respectés, surtout Aang qui apparait comme un enfant qui partage une philosophie zen et toute l'émotion est également présente. Les autres personnages respectent tout autant leur référence, d’une Katara tenace qui se révèle être une grande guerrière à un Sokka maladroit au grand cœur. Zuko et Iroh ne sont pas en reste et se dévoilent petit à petit. Les acteurs y sont pour quelque chose car incroyable mais vrai : les principaux sont vraiment des enfants, ils sont colériques, irresponsables, curieux, affectueux, imprévisibles, ce qui colle à l’animation, et en plus sont véritablement issus de minorités. Côté adultes, la série a profité de caster toutes les têtes asiatiques connues de Daniel Dae Kim (Good Doctor) à Ken Leung (Old) en passant par Paul Sun-Hyung Lee(Kim’s Convenience) sans oublier les invités épisodiques comme Tamlyn Tomita, Utkarsh Ambudkar ou Danny Pudi. Les dialogues peuvent paraître simplistes, mais tout comme dans l’animation, ils réussissent à faire réfléchir plus profondément.
Passons aux choses sérieuses : la manipulation des éléments et les effets spéciaux. Eh bien ils n’ont pas à rougir pour un projet de Netflix à gros budget. Même si les créatures pourraient sembler plus intégrés à l’univers, Apa par exemple est plus que mignon. Les chorégraphies de combat sont également très belles. Oui, les connaisseurs pourront être frustrés de voir les raccourcis effectués, mais il s’agit clairement d’une adaptation, et parfois il faut rester tolérant pour peut-être prendre quelque chose d’autre chose d’autre. Et surtout, peut-être que cette adaptation s’adresse à un public différent, plus jeune, comme eux l’étaient aux débuts de l’animation et s'adapte à la société.
Commentaires (12)
Dommage moi j’étais intéressé par le spin off la réal était bien faite en plus dans cet épisode
Tiens, Nancy Drew ! Je ne savais pas du tout qu’un spin off était dans les tuyaux, mais je rejoins les avis, c’était sympa de sortir un peu de l’hôpital.
Intéressant cet épisode, ça change un peu c'était sympa !
Très bon épisode. Ça me donne super envie de voir ce spin off, le personnage de Joni est super attachant
Bon ben je vois que je ne suis pas le seul à avoir vu le potentiel spin off, ça forçait un peu le trait je trouve. Les transitions scène de l'accident de puis l’interrogatoire étaient très bien faites.
Ha on a tous vu le spin off
Comme beaucoup, je me suis dit tient ça ferais un bon spin off, et c'est le cas ! J'ai hâte de voire ça, c'était très rafraichissant malgré une formule copier-coller (peut ont leur en vouloir ?)
En voyant le titre je me suis doutée de ce que ca impliquait 😁 Très chouette épisode, ça fait du bien de sortir de San Jose Hospital et ça fait plaisir de revoir Felicity Huffman ! En lisant les commentaires ici j'apprends qu'il va y avoir un spin off ?! Chouette !! Belle façon de l'amener. Et c'est drôle je me disais au fil de l'épisode que ça aurait été sympa qu'ils en fassent une série.
Tres bon episode hate de voir ce spin off
Ce backdoor pilot de The Good Lawyer était plutôt réussi. Des bases solides pour ce futur spin-off avec un duo Kennedy McMann et Felicity Huffman qui fonctionne déjà très bien. On garde cette patte The Good Doctor avec une certaine identité propre, encourageant !
Un gros gros kiff cet épisode !