Sélène a mis au point un système d’évaluation des médecins pour les aider à améliorer leur relation client. Shaun, très mal noté, essaie différentes stratégies pour faire remonter sa note, en vain. Léa décide alors d’effacer en cachette les mauvais commentaires qu’il reçoit. Alex se pose des questions sur sa relation avec Morgan qu’il trouve perpétuellement insatisfaite. Audrey traite une patiente envoyée du Guatemala par Matéo. Ce dernier ne donne plus de nouvelles. La patiente, qui n’est autre que l’ex de Matéo, fait comprendre à Audrey que Matéo n’est pas fiable et que leur relation est vouée à l’échec.
On sait que les fans peuvent être difficiles à satisfaire, surtout lorsqu’il s’agit d’une œuvre aussi bien aimée qu’Avatar, le dernier maître de l’air, le dessin animé de Nickelodeon. Comme pour One Piece, ce serait vraiment une erreur de ne pas laisser une chance à cette adaptation en live action qui conserve bien l’essence de la série, les dilemmes moraux d’un jeune garçon qui a tout perdu et qui doit porter un fardeau bien trop lourd pour ses épaules. Dans un univers fortement inspiré du folklore chinois, où quatre royaumes symbolisant le vent, l’eau, le feu et la terre, vivaient en harmonie, un jour, l’un des royaumes et maître de l’élément feu a décidé de conquérir les autres royaumes. Pour les contrer, il n’y a véritablement qu’un seul ennemi, l’Avatar, maître des quatre éléments. Ce rôle est réincarné cycliquement dans chacun des éléments et actuellement, il s’agit d’Aang, un jeune apprenti moine au temple de l’air. Pour tuer l’Avatar, la Nation du feu décide de décimer tous les maître de l’air… Aang réussit à en échapper indemne par hasard, mais il se retrouve bloquer pendant 100 ans dans un bloc de glace. L’histoire commence quand un frère et une sœur le libèrent de son glaçon pour partir pour une grande quête. Les huit épisodes de la saison 1 d’Avatar, le dernier maître de l’air, sont à découvrir sur Netflix.
C’est vrai que le film adapté par M. Night Shyamalan avait laissé un goût amer en bouche. L’annonce d’une série live action avait plutôt été accueillie avec enthousiasme, en sachant que les créateurs originaux de l’animation Michael Dante DiMartino et Bryan Konietzko, faisaient partie de l’aventure. Des différends artistiques les ont fait se retirer du projet, pour finalement laisser la place à Albert Kim. Certes, en huit épisodes il n’y a pas tout ce qu’il y avait dans l’animation dont la saison 1 était composée de 20 épisodes, mais les personnages sont respectés, surtout Aang qui apparait comme un enfant qui partage une philosophie zen et toute l'émotion est également présente. Les autres personnages respectent tout autant leur référence, d’une Katara tenace qui se révèle être une grande guerrière à un Sokka maladroit au grand cœur. Zuko et Iroh ne sont pas en reste et se dévoilent petit à petit. Les acteurs y sont pour quelque chose car incroyable mais vrai : les principaux sont vraiment des enfants, ils sont colériques, irresponsables, curieux, affectueux, imprévisibles, ce qui colle à l’animation, et en plus sont véritablement issus de minorités. Côté adultes, la série a profité de caster toutes les têtes asiatiques connues de Daniel Dae Kim (Good Doctor) à Ken Leung (Old) en passant par Paul Sun-Hyung Lee(Kim’s Convenience) sans oublier les invités épisodiques comme Tamlyn Tomita, Utkarsh Ambudkar ou Danny Pudi. Les dialogues peuvent paraître simplistes, mais tout comme dans l’animation, ils réussissent à faire réfléchir plus profondément.
Passons aux choses sérieuses : la manipulation des éléments et les effets spéciaux. Eh bien ils n’ont pas à rougir pour un projet de Netflix à gros budget. Même si les créatures pourraient sembler plus intégrés à l’univers, Apa par exemple est plus que mignon. Les chorégraphies de combat sont également très belles. Oui, les connaisseurs pourront être frustrés de voir les raccourcis effectués, mais il s’agit clairement d’une adaptation, et parfois il faut rester tolérant pour peut-être prendre quelque chose d’autre chose d’autre. Et surtout, peut-être que cette adaptation s’adresse à un public différent, plus jeune, comme eux l’étaient aux débuts de l’animation et s'adapte à la société.
Commentaires (3)
Léa a déconné là... Et c'est quoi encore cette histoire entre Morgan et Park ? C'est juste emmerde sur emmerde...
C'est quand qu'il y a un mini-séïsme qui fait s'écrouler un étage sur Salen ? J'en peux plus d'elle...
Ce système de notation au sein de l'hopital, je trouve cela malsain. les docteurs ne sont plus eux-mêmes, ils agissent en fonction de ce que les patients vont penser et donc noter. Ils agissent donc par appât du gain en quelque sorte et non plus par passion ou vocation. Tout n'est qu'apparance et profit désormais, je trouve cela triste. Le cas du père et de sa. fille m'ont ému et le cas de la patiente de teo j'ai bien cru qu'elle se moqué de Lim mais non elle était sincère, ce qui lui a permis d'ouvrir les yeux. En ce qui concerne Léa et Shaun j'ai bien peur que le mensonge de Léa ne nuise à leur relation car même si cela par dune bonne intention Shaun risque de le vivre comme une trahison.