Alors qu’elle comptait rentrer à Hershey avant la fin de la mission humanitaire pour se remettre de la perte de son bébé, Lea reste tenir compagnie à Sofia, dont la petite Isabela a besoin de soins. Une coupure de courant oblige les chirurgiens à se montrer créatifs. Morgan réopère elle-même un patient qui présente des complications car aucun autre chirurgien n’est disponible. Mais elle a du mal à terminer à cause de violentes douleurs aux mains. Park prend le relais une fois qu’il a fini sa propre intervention. Alors qu’elle ne l’a jamais fait, et avec l’accord de Lim et Andrews, Claire doit opérer seule sa patiente, atteinte d’un cancer de la vésicule biliaire, alors qu’elle la pensait atteinte de simples calculs.
On sait que les fans peuvent être difficiles à satisfaire, surtout lorsqu’il s’agit d’une œuvre aussi bien aimée qu’Avatar, le dernier maître de l’air, le dessin animé de Nickelodeon. Comme pour One Piece, ce serait vraiment une erreur de ne pas laisser une chance à cette adaptation en live action qui conserve bien l’essence de la série, les dilemmes moraux d’un jeune garçon qui a tout perdu et qui doit porter un fardeau bien trop lourd pour ses épaules. Dans un univers fortement inspiré du folklore chinois, où quatre royaumes symbolisant le vent, l’eau, le feu et la terre, vivaient en harmonie, un jour, l’un des royaumes et maître de l’élément feu a décidé de conquérir les autres royaumes. Pour les contrer, il n’y a véritablement qu’un seul ennemi, l’Avatar, maître des quatre éléments. Ce rôle est réincarné cycliquement dans chacun des éléments et actuellement, il s’agit d’Aang, un jeune apprenti moine au temple de l’air. Pour tuer l’Avatar, la Nation du feu décide de décimer tous les maître de l’air… Aang réussit à en échapper indemne par hasard, mais il se retrouve bloquer pendant 100 ans dans un bloc de glace. L’histoire commence quand un frère et une sœur le libèrent de son glaçon pour partir pour une grande quête. Les huit épisodes de la saison 1 d’Avatar, le dernier maître de l’air, sont à découvrir sur Netflix.
C’est vrai que le film adapté par M. Night Shyamalan avait laissé un goût amer en bouche. L’annonce d’une série live action avait plutôt été accueillie avec enthousiasme, en sachant que les créateurs originaux de l’animation Michael Dante DiMartino et Bryan Konietzko, faisaient partie de l’aventure. Des différends artistiques les ont fait se retirer du projet, pour finalement laisser la place à Albert Kim. Certes, en huit épisodes il n’y a pas tout ce qu’il y avait dans l’animation dont la saison 1 était composée de 20 épisodes, mais les personnages sont respectés, surtout Aang qui apparait comme un enfant qui partage une philosophie zen et toute l'émotion est également présente. Les autres personnages respectent tout autant leur référence, d’une Katara tenace qui se révèle être une grande guerrière à un Sokka maladroit au grand cœur. Zuko et Iroh ne sont pas en reste et se dévoilent petit à petit. Les acteurs y sont pour quelque chose car incroyable mais vrai : les principaux sont vraiment des enfants, ils sont colériques, irresponsables, curieux, affectueux, imprévisibles, ce qui colle à l’animation, et en plus sont véritablement issus de minorités. Côté adultes, la série a profité de caster toutes les têtes asiatiques connues de Daniel Dae Kim (Good Doctor) à Ken Leung (Old) en passant par Paul Sun-Hyung Lee(Kim’s Convenience) sans oublier les invités épisodiques comme Tamlyn Tomita, Utkarsh Ambudkar ou Danny Pudi. Les dialogues peuvent paraître simplistes, mais tout comme dans l’animation, ils réussissent à faire réfléchir plus profondément.
Passons aux choses sérieuses : la manipulation des éléments et les effets spéciaux. Eh bien ils n’ont pas à rougir pour un projet de Netflix à gros budget. Même si les créatures pourraient sembler plus intégrés à l’univers, Apa par exemple est plus que mignon. Les chorégraphies de combat sont également très belles. Oui, les connaisseurs pourront être frustrés de voir les raccourcis effectués, mais il s’agit clairement d’une adaptation, et parfois il faut rester tolérant pour peut-être prendre quelque chose d’autre chose d’autre. Et surtout, peut-être que cette adaptation s’adresse à un public différent, plus jeune, comme eux l’étaient aux débuts de l’animation et s'adapte à la société.
Commentaires (13)
Ohhhh. Bye-bye Claire. Le personnage le plus empathique, doux et persévérant que j'ai vu jusqu'ici. J'aimais bcp le duo Claire & Shaun. J'espère que Shaun se trouvera d'autres ami.e.s
Très très bon final season. Claire mon perso préférée ! Elle va me manquer
Ah oui c'est vrai qu'il me semblait avoir lu qu'elle quittait la série...
Triste de voir partir Claire, elle était la plus humaine.
La demande de calin de shaun a claire haha 😂
Merci aux bons américains de s’occuper des pauvres mexicains. Deux épisodes inutiles. Dommage.
Tellement dégoûtée pour claire mais tellement heureuse pour Shaun et Léa.
Plein d’émotions dans cet épisode
Antonia Thomas, une actrice que je vais définitivement suivre, je l'ai adorée du 1er épisode au dernier !
#TheGoodDoctor nous délivre un sublime double épisode final si empli d'espoir, de sentiment d'avancement, d'acceptation des émotions, du lâché prise. Un message qui fait fortement écho à notre période actuel. Et elle offre un départ si puissant à vous savez qui
Triste aussi ! Elle apportait tellement à la série. Elle va me manquer !
Depuis le début de l'épisode, j'étais persuadée qu'on allait perdre soit Lim, soit Claire... Finalement je ne m'étais pas trompée ! Elle va beaucoup me manquer.
Oh noooooooon ! Ca veut dire qu'elle quitte la série ? :(