Le docteur Andrews collabore avec le docteur Melendez dans le cadre d'une opération de transplantation qui concerne deux jumeaux. Shaun Murphy part en voyage avec Lea.
On sait que les fans peuvent être difficiles à satisfaire, surtout lorsqu’il s’agit d’une œuvre aussi bien aimée qu’Avatar, le dernier maître de l’air, le dessin animé de Nickelodeon. Comme pour One Piece, ce serait vraiment une erreur de ne pas laisser une chance à cette adaptation en live action qui conserve bien l’essence de la série, les dilemmes moraux d’un jeune garçon qui a tout perdu et qui doit porter un fardeau bien trop lourd pour ses épaules. Dans un univers fortement inspiré du folklore chinois, où quatre royaumes symbolisant le vent, l’eau, le feu et la terre, vivaient en harmonie, un jour, l’un des royaumes et maître de l’élément feu a décidé de conquérir les autres royaumes. Pour les contrer, il n’y a véritablement qu’un seul ennemi, l’Avatar, maître des quatre éléments. Ce rôle est réincarné cycliquement dans chacun des éléments et actuellement, il s’agit d’Aang, un jeune apprenti moine au temple de l’air. Pour tuer l’Avatar, la Nation du feu décide de décimer tous les maître de l’air… Aang réussit à en échapper indemne par hasard, mais il se retrouve bloquer pendant 100 ans dans un bloc de glace. L’histoire commence quand un frère et une sœur le libèrent de son glaçon pour partir pour une grande quête. Les huit épisodes de la saison 1 d’Avatar, le dernier maître de l’air, sont à découvrir sur Netflix.
C’est vrai que le film adapté par M. Night Shyamalan avait laissé un goût amer en bouche. L’annonce d’une série live action avait plutôt été accueillie avec enthousiasme, en sachant que les créateurs originaux de l’animation Michael Dante DiMartino et Bryan Konietzko, faisaient partie de l’aventure. Des différends artistiques les ont fait se retirer du projet, pour finalement laisser la place à Albert Kim. Certes, en huit épisodes il n’y a pas tout ce qu’il y avait dans l’animation dont la saison 1 était composée de 20 épisodes, mais les personnages sont respectés, surtout Aang qui apparait comme un enfant qui partage une philosophie zen et toute l'émotion est également présente. Les autres personnages respectent tout autant leur référence, d’une Katara tenace qui se révèle être une grande guerrière à un Sokka maladroit au grand cœur. Zuko et Iroh ne sont pas en reste et se dévoilent petit à petit. Les acteurs y sont pour quelque chose car incroyable mais vrai : les principaux sont vraiment des enfants, ils sont colériques, irresponsables, curieux, affectueux, imprévisibles, ce qui colle à l’animation, et en plus sont véritablement issus de minorités. Côté adultes, la série a profité de caster toutes les têtes asiatiques connues de Daniel Dae Kim (Good Doctor) à Ken Leung (Old) en passant par Paul Sun-Hyung Lee(Kim’s Convenience) sans oublier les invités épisodiques comme Tamlyn Tomita, Utkarsh Ambudkar ou Danny Pudi. Les dialogues peuvent paraître simplistes, mais tout comme dans l’animation, ils réussissent à faire réfléchir plus profondément.
Passons aux choses sérieuses : la manipulation des éléments et les effets spéciaux. Eh bien ils n’ont pas à rougir pour un projet de Netflix à gros budget. Même si les créatures pourraient sembler plus intégrés à l’univers, Apa par exemple est plus que mignon. Les chorégraphies de combat sont également très belles. Oui, les connaisseurs pourront être frustrés de voir les raccourcis effectués, mais il s’agit clairement d’une adaptation, et parfois il faut rester tolérant pour peut-être prendre quelque chose d’autre chose d’autre. Et surtout, peut-être que cette adaptation s’adresse à un public différent, plus jeune, comme eux l’étaient aux débuts de l’animation et s'adapte à la société.
Commentaires (12)
La gamine pas du tout responsable qui peut toucher 90.000$/an, pas du tout crédible. :-))
Je n'ai vraiment pas aimé cet épisode. Je trouvais qu'au début de la série Shaun agissait de manière réfléchie et que plus les épisodes passent et plus il en fait qu'à sa tête. D'accord il veut plus d'indépendance mais il ne faut pas abuser non plus. Un peu déçue.. J'espère que la suite sera meilleure.
Je trouve cet épisode très mauvais. Léa en fait beaucoup trop et son changement de vie n'est pas crédible. C'est pas comme si elle avait vécu énormément de nouvelles expériences pendant le road trop qui font réfléchir
je n'arrive pas à voir les vidéos
JE KIFFE CETTE SERIE
Je pige pas trop le délire de Lea, là.... Certes, je peux comprendre qu'elle ne se plaise pas dans son job, qu'elle ait envie de changement et donc d'un déménagement.... Mais donc ce cas, tu ne fait pas marcher un mec et lui fait croire qu'il pourrait y avoir quelque chose ! Surtout qu'elle a bien vu qu'il n'était pas trop bien dans ses baskets, surtout avec sa dispute avec Glassman ! Sinon, le cas des jumelles est très intéressant, je suis curieuse de voir comment ça va se passer pour elle dans le prochain épisode ! Et pour Jared... Je suis mitigée à propos de lui, je me demande comment il va faire maintenant, ce qu'il envisage.... En tout cas, c'était très intéressant de voir cette histoire, surtout pour tout ce qui est harcèlement et la masculinité toxique. C'était plutôt bien présenté !
Léa est vraiment adorable avec Shawn
Retour réussie pour The Good Doctor. La série évolue nous offrant toujours cette optimisme si distinctif par moment mais qui se teinte de plus en plus de réalisme et de dureté qui offre un subtile mélange extrêmement bénéfique à la série.
Le cas etais vraiment intéressant ! J’ai vraiment pensais que Jared allez être repris !
Une reprise forte en intensité dites donc ! Je suis encore pas sereine de la fin avec Shaun qui se sent abandonné... Le cas était intéressant j'espère bien qu'on aura la suite dans le prochain et que pour Jared on va avoir un retournement... Ah oui c'est Part One dans le titre donc on aura la suite du cas des jumelles !