Avec le retour de Casey à la maison, la famille recherche un retour à la normale. Mais rien n'est normal dans cette situation. Henry signale qu'il a entendu un bourdonnement dans sa tête et qu'il s'est surpris à griffonner le nombre 162 à plusieurs reprises. Un mystère de plus ? A la veille de l'arrivée du pape, Marcus et ses compagnons doivent contrer une tragédie qui se profile. Tomas, lui, se voit offrir une opportunité au sein de l'Eglise, mais le prix lui semble trop élevé. En affrontant un ennemi de l'Eglise, Marcus découvre la vérité sur le démon qui sévit alors que le père Tomas apprend la signification du nombre 162. Mais n'est-il pas déjà trop tard ?...
Une chose est sûre : la critique est unanime sur la qualité d’Evil. Et pourtant, elle reste trop méconnue même parmi les sériephiles. C’est donc le moment avec l’arrivée de la saison 2 et 3 sur Paramount+ de vous (re)parler de ce petit bijou d’écriture. Jusque-là, seule la saison 1 était dispo.
Comme toutes les séries de Robert et Michelle King, sur le papier, le concept semble assez classique : une série de network à l’ancienne avec des affaires hebdomadaires que notre trio principal démêle entre possession démoniaque ou arnaque douce. Il y a des têtes connues dans le casting, Michael Emerson (inoubliable dans Lost) par exemple, monsieur Luke Cage lui-même (Mike Colter qui avait déjà collaboré sur The Good Wife), Aasif Mandvi dont le nom est peut-être inconnu mais dont le visage vous rappellera quelqu’un, et bien sûr Katja Herbers vue dans Westworld ou encore dans Divorce.
Ces trois derniers forment le trio principal composé d’un apprenti-prêtre croyant, d’une psychologue médico-légale franchement sceptique et d’un informaticien qui fait au contraire tout pour prouver que tout est faux, ils sont financés par l’église catholique pour débusquer les histoires de possession démoniaque. C’est ce que propose Evil sur CBS outre-Atlantique.