- Sortie originale
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Sortie plateforme
- Épisode précédent S01E07 - Heroes
- Numéro S01E08
- Pays États-Unis
- Genres Drame, Mini-série
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Dernière mise à jour
29 avril 2022 - 07:05
sur 11 bases de données -
Lizzy
À la suite de l'article du Wall Street Journal, Elizabeth et Sunny doivent faire face aux conséquences de leurs actes.
Avec Super Pumped, Brian Koppelman et David Levien (Billions) souhaitent créer une anthologie autour des figures du monde du business. La première saison est adaptée du livre de Mike Isaac sur Uber. La prochaine est censée tourner autour de Facebook sans être une copie de The Social Network toujours basée sur une non-fiction de Mike Isaac.
Le terme d’uberisation symbolise le mal de notre société de consommation alors pourquoi ne pas s’intéresser la personne et à la marque qui ont créé ce concept ? Derrière Uber, il y a Travis Kalanick, un jeune entrepreneur dont la légende raconte qu’en déplacement à Paris, marre d’attendre son taxi, il a imaginé un service de véhicules qui viendrait le chercher là où il le voudrait à n’importe quel moment de la journée ou de la nuit. Et ainsi est né Uber.
Son idole : Mark Zuckerberg. Travis Kalanick veut révolutionner le monde et en créant Uber il a posé une pierre à l’édifice en faisant de sa société l’une des premières licornes avant son entrée en bourse : une start-up valorisée à plus d’un milliard de dollars. Et dès le début de la série on comprend que le Travis, il en veut. Joseph Gordon-Levitt lui transmet son énergie sans faille et il est difficile de ne pas croire à son projet. Surtout quand l’histoire est narrée par nul autre que Quentin Tarantino avec une voix très reconnaissable. Autour de ce jeune patron sans foi ni loi, mû par l’innovation et la réussite, ses fidèles associés aveuglés par l’argent qu’ils se font ainsi que par le charisme de Kalanick, prêts à garder les yeux fermés sur des problèmes persistants au sein de leur entreprise à l’environnement toxique.
Commentaires (10)
Une super série, mais j'avoue que je suis très très très énervée par cette fin. Aucune excuse de la part d'Elizabeth. Aucun mea culpa. Aucune admission ou responsabilité. Ce qu'elle a fait est très très grave mais non c'est rien elle profite avec son nouveau mec (enfin "profiter" car je connais la suite avec son procès mais tout de même). Le genre de personnes qui abusent de leur pouvoir, qui brisent des gens et des carrières sans une once de culpabilité...
Toujours autant "fasciné" de voir la "liberté" de licencier au bon vouloir du boss.
Moralité de la série : finissez vos études avant de vous lancer sur le marché 😂
Magistral ! Cette série est bluffante malgré un démarrage mou. Bravo à Searchlight pour cette trouvaille 👏🏻
Au final c’est comme si Elisabeth avait subit une nouvelle transformation, elle redevient presque « ado » comme si les 10-15 dernières années n’avaient pas existé. Ajoutons à cela le fait qu’elle ne reconnait aucune responsabilité. Cette fille est une arnaque de Aà Z et la série aurait pu s’appeler Inventing Elisabeth tant elle me fait penser à Anna. J’espère qu’elle va payer cher sinon c’est trop facile. 🤔
Le plus triste dans cette histoire, je crois que c’est pour moi le « George Shultz never apologized to Tyler Shultz ». Quelle histoire. J’espère qu’elle ne profitera pas trop de sa liberté quand même.
Bonne série. La Elizabeth qui admet aucune responsabilité : j’ai l’impression que c’est une maladie qui touche tous les gens de « pouvoir ».