Fifteen years earlier, Red Bill learns about being a man from a rugged Civil War veteran, Anderson; McCoy and his vile older brother, Bronson, must resort to increasingly dark means as they struggle to survive the desert.
Bientôt Django, récemment Billy the Kid, maintenant That Dirty Black Bag, il n’y a pas à dire, le western est de nouveau à la mode. Pourtant ce n’était pas gagné pour ce genre qui depuis quelques décennies tombait dans l’oubli mis à part quelques exceptions. Des Italiens sont derrière ce projet, Marcello Izzo, Silvia Ebreul et Mauro Aragoni créent That Dirty Black Bag qui est un mélange de spaghetti mais aussi de gore.
Direction Greenvale, une petite ville aride du Far West qui attend la pluie comme jamais. Paramount+ accueille la première saison de That Dirty Black Bag en mise en ligne hebdomadaire dès le 5 janvier.
Commençons par les personnages, nous avons deux héros qui deviennent des némésis, en la personne de Red Bill (Douglas Booth) et le shérif McCoy (Dominic Cooper). Red Bill décapite ses victimes et les laisse dans un sac noir tandis que le shérif tente de l’arrêter. Tous les coups bas sont permis, le sens de la loi est celui du plus fort même si notre shérif ne veut pas non plus prendre trop de risques. Alors évidemment, la violence transpire par tous les pores. Que ce soit du sang qui gicle ou encore des coups portés où le spectateur voit beaucoup de choses, la série ne se cache pas des détails gores. D’autres acteurs performent des scènes clés, comme Travis Fimmel et Aidan Gillen non sans une touche d’humour.