Toute la famille Roy est réunie à l'occasion du mariage de Shiv et Tom. La réception est organisée dans un château en Angleterre. Le plan de Kendall pour reprendre le contrôle de Waystar semble se dérouler sans anicroche...
Bonne nouvelle : les deux premières saisons de Quartier des banques sont disponibles gratuitement sur TF1+ ! L’occasion parfaite de découvrir (ou redécouvrir) ce thriller familial et financier, où le glamour de Genève rencontre le poids des secrets. Dès le premier épisode, « Quartier des banques » nous plonge au cœur de la puissante banque familiale Grangier. Lorsque Paul Grangier, le patriarche de la famille, tombe soudainement dans le coma dans des circonstances suspectes, sa fille Elisabeth (magnifiquement incarnée par Laura Sépul) revient de Londres pour reprendre les rênes de l’institution. Mais elle découvre rapidement que derrière les vitrines impeccables du quartier des banques de Genève, les apparences sont trompeuses.
La première saison se concentre sur l’effondrement progressif de l’empire Grangier. Elisabeth doit affronter des pressions énormes : la famille, les clients fortunés aux exigences parfois douteuses, et des décisions morales qui pourraient détruire tout ce que son père a construit. Les affaires de la banque se compliquent davantage lorsqu’elle découvre des comptes cachés liés à des activités criminelles, menaçant non seulement la réputation de l’établissement, mais aussi la sécurité de sa famille.
Au centre de l’intrigue se trouve Elisabeth Grangier sous les traits de Laura Sépul, une femme forte et déterminée qui prend les commandes de la banque familiale après le coma soudain de son père. Revenue de Londres, elle apporte avec elle un regard neuf mais aussi une distance émotionnelle vis-à-vis des affaires de la famille. Pourtant, en affrontant les enjeux financiers et les secrets enfouis de la banque, elle révèle une capacité surprenante à naviguer dans ce milieu hostile, tout en se posant des questions sur les limites morales qu’elle est prête à franchir. Sa relation avec son frère Alexandre est au cœur de nombreux conflits. Alexandre, incarné avec justesse par Arnaud Binard, apparaît d’abord comme le successeur naturel de Paul. Mais sous sa façade confiante, il lutte avec le poids des attentes familiales et ses propres faiblesses, ce qui le conduit parfois à des choix contestables. Difficile de ne pas faire de parallèle avec Succession (qui est sortie plus tard) lorsqu’il y a des histoires familiales au sein de la grande bourgeoisie de nos jours.
Commentaires (7)
Mais quelle valse de démon et des péchés incroyables. On enchaîne les manœuvres comme des pas de danse endiablé qui finissent dans un tourbillon de trahison à tout vas. Somptueux ! Du très grand HBO.
Exceptionnel ! Cet mise en abîmes,remplit d’hypocrisie et de fourberies,annonce un mariage explosif ! J’ai peur que Kendall se fasse avoir une nouvelle fois,c’est trop beau pour être vrai..mais j’y crois La scène de la barque,c’était clairement un câlin d’adieu de la part de Kendall,il sent venir l’implosion dans sa famille et que ça sera irréversible ( très belle scène en tout cas ) Assez perturbant d’entendre Marcia switcher entre français et anglais ( en VO ) je ne m’y attendais pas
C’est moi ou pépé met de l’eau dans son vin ? On sent gros comme un pâté que Kendall va se la faire mettre à l’envers à nouveau par Stewy… et Roman qui est complètement à côté de la plaque sur cet épisode : il m’aurait presque attendrie, le petit… et sinon ! Où est Connor ?
Une dinguerie cet épisode, on ne sait où donner de la tête tellement c'est le bordel à tous les niveaux, et en effet pas sûr que le takeover prenne. Je retiendrai la scène sur la barque, le câlin fraternel très touchant au milieu de toute cette pourriture
Sauf que Roy vient de montrer qu’il sait s’assoir sur ses principes. Il l’a fait deux fois dans cet épisode. Donc Kendall risque de tomber de haut.
Ça va chier ! La bombe atomique est prête à exploser !
Excellent épisode. Cette veille de mariage se déroule comme une énorme attaque de missiles ciblée. ça fuse dans tous les coins, et pas d'abri possible...