Red Light, Green Light

Épisode 1 : La scène d'ouverture en noir et blanc est magnifique. Un père aux mille addictions et aux dettes colossales, séparé de sa femme, et une fille qu'il voit de temps en temps. La figure de l'élégant inconnu qui l'aborde et lui propose de jouer est intéressante. Le protagoniste ne peut résister au jeu et à la dépendance. Il renonce à ses droits physiques s'il ne parvient pas à rembourser ses dettes aux usuriers (et à la banque) en un mois. Son ex-femme, son nouveau compagnon et leur fille déménageront aux États-Unis l'année suivante, à moins qu'il ne prouve au tribunal qu'il peut encore subvenir aux besoins de leur fille et ainsi en récupérer la garde. Il décide donc d'accepter l'offre de l'inconnu, utilisant le mot de passe « un, deux, trois, étoile ! ». Il monte dans la voiture, dort et se réveille dans un lit, dans un établissement médicalisé, avec des dizaines d'autres personnes habillées de la même façon. Ils les réveillent au son de la musique classique. Il y a 456 personnes au total, et il est le dernier. Il rencontre Numéro 1, un homme âgé atteint d'une tumeur au cerveau. C'est là qu'il rencontre également 067, une femme qui lui a volé ses affaires et s'est également disputée avec d'autres personnes. Le personnel porte des masques pour cacher son visage et affirme que le gagnant remportera une grosse somme d'argent. Tous les participants ont d'énormes dettes qu'ils ne peuvent pas rembourser.

Première fois de ma vie que je mate x)

Incroyable démarrage et l ambiance pesante qui règne c est fou. On se prend au jeu c est le cas de le dire avec surtout une intrigue qui prend forme et des personnes haut en couleur!!

Excellente introduction, qui arrive a introduire les principaux personnages, leurs addictions, leur entourage, le concept...

A voir par la suite… Ce premier épisode pose les choses, le père et sa fille, le jeu dans le métro… Il faut les trois quart de l’épisode pour arriver au sujet… Qui n’est qu’un « 1 2 3 soleil ». Alors certes, un poil impressionnant et posant clairement les choses mais globalement, c’est tout ce qu’on a sur l’épisode… Sympa mais à voir.

Un soupçon de Battle Royale, un trait de JigSaw... Au shaker, tu secoues tu secoues. Et hop un squid game.

La mise en place est longue mais la présentation des personnages est importante…pour les plus anciens qui connaissent BATTLE ROYAL…il y aura certainement comme un air de déjà vu…

Je ne peux pas regarder la série

Certains n'avaient pas compris le mot "éliminé"

Début très poussif. Mais une fois rentré dans le jeu, ça devient vite intrigant, angoissant, palpitant, sanglant, glaçant.

Excellent, me donne envie de voir la suite…

Épisode pilote de ouf

Longuet la 1ere partie

Mouais... c’est assez bof, surtout le début, les personnages sont pas des plus attachant (a part le vieux), le personnage principal est aussi assez désagréable, du moins avant une certaine scène (après il fait plus pitié qu’autre chose), et c’est vraiment un père irresponsable (ses défaut ne sont pas non plus de vrai défaut pour la série mais tout de même un handicap), Du coup j’ai adoré la scène où il se prend des baffes. Pour l’instant je trouve également que la série est trop prévisible. Bon, il y a quand de bon point, les décors et la musique sont plutôt cool, je trouve que prendre un jeu pour enfant et le tourner en massacre est une bonne idée. J’apprécie plutôt bien l’idée comme quoi que tous les joueurs sont juste des nombres et qui sont pratiquement indissociable du fait qu’ils sont tous habillé de la même manières. Bien que je trouve l’idée du jeu sympa, je trouve que la manière pour les éliminer peu original. Aussi j’ai un petit problème avec une scène, on a un personnage avec un masque sur le visage qui se fait scanner, c’est juste le masque qui est scanner ? Je pense pas (enfin j’espère pas en tout cas) parce que sinon c’est vraiment une idée à la con.

Lee Jung Jae à contremploi total : plutôt héros romantique (An affair, Il mare), héros politique (The assassination) ou ordure ultra sexy (The handmaid). La scène où Gong Yoo (autre acteur romantique : Goblin, Dernier train pour Busan) le baffe est à se déboîter la mâchoire. Burlesque. Harold Lloyd, sors de ce corps !!!

Le serial loser dans toute sa splendeur 😆 Les tons sont très vidéo ludiques. Ça peut être sympa et drôle malgré le côté gore.

Bon comme c’est clairement la série phénomène du moment; je tente. Un peu long à se mettre en place, mais une fois dedans ça devient bien gore. Mais intéressant !

Génial

pwahh hyper intense comme début même si je savais dans quoi j'allais m'embarquer je suis à fond !!!

Bof bof c’est très long à démarrer et pendant l’épreuve vraiment horrible comme concept !