En 1983, à Los Angeles, Franklin Saint, 19 ans, regarde un match de catch de son héros, Gustavo «El Oso» Zapata. Celui-ci perd le combat. A côté de a carrière sportive, Oso gagne sa vie en travaillant pour des trafiquants de drogue. Son contact lui donne une nouvelle mission. Franklin revend quant à lui de la marijuana pour le compte de son oncle, à l'insu de sa mère. Après la mort par overdose de Logan Miller, un agent de la CIA, son collègue Teddy McDonald apprend que le défunt était à la tête d'un réseau de revente de drogue et qu'il finançait des rebelles. McDonald dissimule ces informations.
Cette semaine on plonge dans le catalogue de Canal+ sur des titres un peu moins connus mais débordant de potentiel.
Du polar, certes, mais pas que. Dans Pretty Hard Cases rejoignez le duo infernal et hilarant Wazowski et Duff pour des affaires hautes en couleur. Ces deux inspectrices n’appartiennent pas à la même division des forces de police donc ne se connaissent pas, mais vont être amenées à collaborer. Deux personnalités fortes et très différentes qui vont devoir apprendre à se faire confiance pour régler leurs affaires criminelles et deviendront BFF par la suite.
Peu connue, la dramédie canadienne a déjà deux saisons à son actif. Entre l’humour burlesque de Meredith MacNeill (Baroness Von Sketch Show) et le bitch resting face incessant de Adrienne C. Moore (déjà perfectionné dans Orange Is the New Black), Pretty Hard Cases dégage du charme. Certes imparfaite, elle se veut divertissante et remplit sa part du contrat. Par ailleurs, en grattant un peu la surface, on s’aperçoit qu’elle décrie des problématiques sociétales importantes grâce au spectre de la police.