Après la désastreuse rencontre méta-humaine de Peacemaker, l'équipe passe à l'action pour le secourir, tandis que les détectives Sophie Song et Larry "Fitz" Fitzgibbon commencent à se rapprocher. Par la suite, alors que la tension et la défiance montent dans l'équipe, les détectives sont menés sur une fausse piste, et Peacemaker reçoit une visite surprise.
Peacemaker fait partie des séries DC imaginée par James Dunn et il réalise par ailleurs cinq épisodes sur les huit de la première saison. Christopher Smith (John Cena) alias Peacemaker vu dans The Suicide Squad (celui de Gunn évidemment) est de retour avec son aigle Eagly. Il est en pleine dépression il faut dire, les mauvais rapports avec son père continuent, il n’a plus envie d’être un méchant qui tue tout le monde pour un rêve fasciste… il se remet beaucoup en question. Heureusement Amanda Waller vient le recruter pour son dernier groupe d’intervention top secret l’A.R.G.U.S. censé combattre un ennemi secret qu’on découvre au fur et à mesure. Là-bas, il va rejoindre un groupe éclectique qui avait besoin de gros bras.
En attendant l’arrivée de HBO Max en France, c’est Prime Video qui a acquis les droits de diffusion de Peacemaker et la saison 1 est disponible depuis le 31 décembre, pour se remettre du nouvel an devant une série assez délirante.
Un héros prêt à tout pour la paix… quitte à tuer les gens qui se dressent sur son chemin. Telle est la devise de Peacemaker qui pourtant va la remettre en cause. Avec un humour décalé propre à James Gunn, les fans de son Suicide Squad seront ravis. Il faut dire que son dernier projet (avant d’être aujourd’hui à la tête de l’univers DC) prend à contrepied les grosses productions qui se veulent subversives comme The Boys mais qui au final ne font qu’exploiter, avec brio certes, les clichés. Peacemaker contient de la violence, de l’humour, mais aussi des interrogations sur le bien et le mal ou encore la loyauté. Elle pousse le curseur un peu plus loin dans le divertissement.
Commentaires (6)
Bon j’aurai tenu deux épisodes. Je n’en peux plus de ce ton léger, ou les personnages sont tous plus bêtes les uns que les autres et parlent sans arrêt, pour faire cool mais en fait ça fait du minutage. Pauvre Warner Bros qui a confié à James Gunn les clés des films DC. Ça pourrait être encore pire. Bref archivage malheureusement.
Un ton en dessous du premier malgré de bons moments
Toujours aussi beauf. Mais y'a un côté intéressant.
Mais c’est quoi un papillon ? 😆 J’ai bien aimé la version rock de Foster The People au générique de fin 😅
Bah voilà, c'est finalement possible de faire un bon épisode sans surfer sur la vague progressiste.