Lorsque Callen se rend au Centre national de lutte contre le terrorisme sous prétexte d’interroger un agent russe dans l’affaire de l’avion accidenté sur laquelle il a enquêté des mois plus tôt, les rôles sont inversés et il est détenu, accusé d’être un agent russe
NCIS la série originelle, elle-même dérivée de JAG à l’époque de Donald P. Bellisario, est actuellement en cours de sa 20e saison. Elle a donné naissance à quatre spin-offs, NCIS : Los Angeles (depuis 2009 avec une saison 14), NCIS : Nouvelle-Orléans (2014 à 2021), NCIS : Hawai’i(depuis 2021, le titre ayant passé de Hawaii à Hawai’i pour rendre hommage à la langue locale) et très prochainement en 2023 NCIS : Sydney. On va s’attarder sur NCIS : Hawai’i dont la saison 1 vient de sortir sur Salto.
Direction l’île de Hawaii à Pearl Harbour évidemment, avec Jane Tennant, une agente fédérale qui n’a peur de rien et qui a mené de front carrière et vie de famille.
L’une des premières particularités commence, vous l’aurez compris, avec son héroïne. C’est la première fois dans la franchise NCIS qu’une femme est la meneuse d’une équipe. Et Vanessa Lachey n’est pas à sous-estimer. Oui, elle présente Love is Blind, la télé-réalité, mais elle a clairement d’autres chats à fouetter dans NCIS Hawaii. Et la dynamique change quand c’est une femme cheffe d’équipe. Quant à sa team, elle est assez classique, un bleussaille local de l’île qui n’y avait pas mis les pieds depuis quelques temps, une rebelle qui n’a cure des règles, un geek, et un bras droit sans grand charisme. Par ailleurs, ce spin-off de NCIS est celui qui a le plus fait de crossovers avec les autres équipes. Le procédural reste le fondement de cette série de network et même si peu de véritables surprises existent, le format divertissement remplit sa part du contrat.