Elliot tente de mener une vie normale, mais ne peut pas échapper à fsociety. Gideon, quant à lui, devient suspicieux envers Elliot, et Tyrell joue de sales tours.
Si on vous parle d’Angelyne, il serait plus que probable que vous ne sachiez pas de qui il s’agit puisqu’on est dans la pop culture américaine assez localisée, celle de Los Angeles. Cette Angelyne était la reine des panneaux publicitaires géants, les fameux billboards de Los Angeles. Pour donner du contexte, vers 1981, des panneaux publicitaires mettant en vedette une blonde plantureuse arborant une coiffure bouffante et pas grand-chose d'autre ont commencé à apparaître dans toute la ville. Affichant un seul mot « Angelyne » et un numéro de téléphone, les publicités ont suscité des reportages médiatiques locaux frénétiques. Elle a été pionnière du concept de « célèbre pour être célèbre » avant l’ère des réseaux sociaux. La série débarque sur OCS.
Le désir de comprendre Angelyne, qui elle était, quelle était la motivation derrière les publicités, que vendait-elle, a été l'impulsion derrière l’article du Hollywood Reporter de Gary Baum, "Le mystère de la vraie identité d'Angelyne, la diva des panneaux d'affichage de L.A., est enfin résolu", qui a dévoilé un pan sur la vie de la starlette. C’est à partir de cet article que la mini-série a été créée par Nancy Oliver et développée et showrunnée par Allison Miller (The Resort). Emmy Rossum(Shameless) incarne une Angelyne influenceuse avant les réseaux sociaux, et la série est en soi une histoire par essence hollywoodienne où la performance, la réinvention et l’expression de soi, est synonyme de célébrité et de rêve. Le format faux documentaire biographique permet à cette Angelyne fictive de reprendre le pouvoir sur la narration et elle peut ainsi raconter son histoire. Chaque épisode se concentre sur une personne clé de sa vie et on y voit les opinions et les biais de tout le monde.
Une grande partie du succès de la série repose sur Emmy Rossum, qui fait double emploi dans la série en tant que productrice exécutive aux côtés de son partenaire dans la vie Sam Esmail (Mr. Robot) et en tant qu'interprète de l'icône éponyme. Elle est dans son rôle et totalement engagée à faire d'Angelyne plus qu'une simple pin-up. Et le fait qu’on la voit de l'âge tendre de 17 ans jusqu'à aujourd'hui, à 70 ans, laisse du temps (et beaucoup de maquillage) à Rossum pour parfaire le personnage. Il parait qu’on peut encore voir la vraie Angelyne au volant de sa Corvette rose dans les rues de Los Angeles.
Commentaires (51)
Turell me fait furieusement penser à Patrick Bateman (American Psycho). Et en + en VF il a un peu la même voix
Un épisode intéressant car il n’est pas tout blanc ou tout noir. Elliott commence à mentir de plus en plus, à sa voisine, à son patron, à ses amis. Il refuse de continuer avec Mr. Robot tout en ayant envie. Le copain de la blonde hésite à faire un piratage, montre ses travers. Le type en costume n’arrive pas à ses fins et se montre un pourri sans limite. Bref, pas mal de percées dans l’histoire, avec des personnages crédibles, soignés, intéressants. Sympa.
Très bon même si le rythme pour le coup là est un peu lent...
Ils nous soufflent le chaud et le froid dans cette série !
Très bon épisode ! Encore une fois il y a pas des scènes qui marquent plus que d'autres, c'est pas grandiose. Mais on se laisse porter par l'histoire et les protagonistes. La fin est cependant vraiment cool, et le jeune cadre est vraiment prêt à tout :o
Whaou ! Encore une fois ce 1.03 est grandiose et cette fois c'est Martin Wallstorm qui m'épate. Quel jeu ! Quelle interprétation ! Les choses se mettent vraiment en place avec une maîtrise narrative et scénaristique incroyable. Et une fois encore la série nous offre un final musical grandiose accompagnant une montée en puissance incroyable
J'espère qu'on n'aura pas de twist à la Fight Club avec Mr. Robot qui est l'alter ego d'Elliot ou le fantôme de son père.
Une série de dingue, je suis complètement!!!
Je dévore littéralement cette Serie ! Géniale !!
20eres minutes chiantes à en mourir - comme les 2er épisodes. 20 dernières minutes....... enfin....... ça commence. Soyons positifs, ils n'ont pas battu la mise en place de Sense8 qui dure tout de même 1 saison.
Je suis dak les episodes filent tres vite mais y a quelque chose qui me gene encore que je ne comprends pas pour totalement devenir hyper fan. Je trouve qu ils sont allés tres fort dans le cliché du jeune entreprenneur. Le mec fils de riche, tabasse des sdf pour se defouler, trompe sa femme adepte du SM avec des hommes... Un peu trop sur ce coup. J ai l impression qu il y a beaucoup d Hannibal dans cette serie en plus des differentes references precedement citées (plans flous, cadre decentrés, musique classique, la psy...).
Encore un très bon épisode Elliot a toujours un très bon jeu , par contre j'ai pas aimé le tabassage "payant" du sdf...
J'adore les moments avec ma musique classique
Après deux épisodes d'establishing, on a l'impression que la série se lance bel et bien! Très bon épisode je trouve, les personnages prennent de la profondeur. J'étais un peu dubitative après le premier épisode, mais là j'ai le sentiment que le style devient plus singulier. C'est paradoxal parce qu'on peut voir des références partout, mais elles sont de mieux en mieux exploitées et créent quelque chose de très intriguant. Je m'étais fait la réflexion au début de l'épisode précédent, qui m'avait beaucoup fait penser à Kubrick, j'aime beaucoup leur choix de typo en plus du reste! Bref, j'espère que ça va continuer dans ce sens...
Avec Justin de Queer as Folk Sinon je n'ai pas compris dans quel but , le blond couche avec le gay ?
On ne voit pas l'épisode passer ! Clairement, Mr. Robot est le fruit de l'imagination d'Elliot, il n'y plus de doute rien qu'à voir la scène au bar.. Par contre le ga qui fait du chantage c'est qui ? Et le mec aux yeux bleus m'a traumatisé en tabassant le sdf :o juste horrible cette scène.
Du très lourd: qualité, psycho approfondie, peu de clichés ou en 3e degré, keep it good dude!
Chassez le naturel... Elliot se lance dans la partie. Encore un excellent épisode, qui comme les précédents, me semble trop court.
J'adore!! Il faut que ça continue sur cette lancée, ça devient très intéressant.
Là, je commence à accrocher. Plus clair, plus fluide, les contours du pitch se dessinent bien. J'attends la suite avec impatience !