Après une vive altercation avec Eeva, qui lui reproche d’avoir menti, Risto fait sa valise pour rentrer à Helsinki. Mais à peine est-il sorti de la chambre qu’il s’écroule, terrassé par une crise cardiaque. En Finlande, après avoir rencontré les petits amis de ses filles, Olivia s'efforce de se sentir rassurée. Tandis que Tytti passe le week-end avec Ellu, Anna se réveille, après une longue route en voiture, près d’un chalet au bord du lac où sa famille passait autrefois l’été. Elle interroge Daniel sur les circonstances de leur rencontre…
Sur arte.tv il y a bien sûr des documentaires très sérieux, ou encore des thrillers nordiques comme Man in Room 301, mais il y a également des comédies. Et les trois séries de cette sélection pourraient bien vous surprendre et sont à découvrir sur la plateforme d'Arte.
Qui n’a jamais songé assister à ses propres funérailles ? C’est l’idée derrière Mes funérailles de l’Islandais Jón Gunnar que BetaSeries avait eu l’occasion d’interviewer l’année dernière au TV Series Festival de Berlin. Sur le ton de l’humour, très souvent noir ou encore sarcastique, Mes funérailles suit Benedikt, un homme d’un certain âge qui est atteint d’une tumeur inopérable. Une nouvelle qu’il garde secrètement pour lui mais qui ne va pas l’empêcher de préparer ses propres funérailles. Qui dit funérailles, dit discours à cœur ouvert. Clairement, ce n'est pas le moment d'être hypocrite ! Ce sera l'occasion pour lui de faire le point sur sa vie, changer de point de vue et aboutir à une fête très surprenante. Le ton détaché propre aux Nordiques ne fait qu'appuyer le trait humoristique de la série.
Revenue pour une saison 2 depuis le 30 septembre sur arte.tv, Mytho réunit Marina Hands et Mathieu Demy pour une comédie réussie. Dans la saison 1, Elvira s’inventait un cancer pour attirer l’attention des siens dans sa vie de famille qui s’effritait de plus en plus, dans la saison 2, elle doit bien sûr se faire pardonner son mensonge. Les adultes sont complètement perdus et ce sont finalement les enfants les plus responsables dans l'histoire. Chaque épisode dure 50 min et les six épisodes de la saison seront disponibles jusqu'au 27 octobre.
Commentaires (3)
Sans les multi incohérences citées plutôt, la série aurait pu être TOP. Il ne faut donc pas être très regardant sur les détails. Hélas sans ces raccourcis, Man in the Room 301 n'est que banal. Seule la fin de la 2ème partie m'a fait tenir jusque la fin pour savoir qui est vraiment Elias. Malgré cela, si on a un peu jugeote, on découvre assez facilement qui il est.
Ouf, je suis au bout... Ça fait un peu long pour un mauvais téléfilm du dimanche en fait...
pour le cours de génétique aux scénaristes, je confirme^^. On voit bien les différences culturelles entre europe du nord et autre occident. Genre une ado d'aujourd'hui accepterait que son portable soit jeté de la fenêtre... et surtout reste qq part dehors toute la nuit et le jour qui suit^^. Genre une ado d'aujourd'hui ne se demanderait pas si la batterie n'est pas vide^^ même pour le remettre en silencieux après. On fait aussi plus de sport pour garder le souffle^^ Le père qui ne rechange ni les clefs ni le lieu où il les cache après la mort de l'enfant ... mhm... Ca me fait penser : le flic n'était pas très perspicace durant l'enquête. Leppo n'avait pas l'air particulièrement ravagé chez lui... ni outré d'être accusé de parricide... Et Elias a focalisé sur celle qu'il avait vu à travers la fenêtre en rendant la boite à gâteau la boucle est bouclée. Ca aurait pu être une série pas mal sans cette métamorphose physique biologiquement totalement impossible de la préadolescence à l'adulescence. Quant au grand-père, vu la réaction familiale, le mensonge a emporté son coeur...