La fin d'année approche. Lane a besoin de 8 000 dollars et utilise les ressources de SCDP pour les obtenir comme prime de Noël. Harry Crane retrouve Paul Kinsey, devenu fidèle d'un gourou indien et amoureux d'une ancienne droguée repentie. Don et Joan prennent une journée pour parler d'eux ensemble autour d'un verre. Pete est excité à l'idée de décrocher un contrat avec les voitures Jaguar, ce qui serait le premier vendeur d'automobiles pour la jeune agence.
L’amour peut revêtir de nombreux traits et c’est, là, justement la trame de Modern Love, série au casting incroyable désormais disponible sur M6+. De la protection quasi-paternelle entre un portier d’un immeuble new-yorkais et une de ses jeunes résidentes tentant de se dépatouiller avec une vie amoureuse chaotique, à un couple usé cherchant à sauver leur idylle, en passant par une amitié salvatrice ou à des rendez-vous ratés, l’amour, ce sentiment qui pousse à vouloir du bien à une autre personne, n’est pas nécessairement amoureux ! Et chacun des épisodes qui raconte une histoire inédite avec des nouveaux personnages, en est la preuve. Tour à tour drôle, émouvante et profonde, Modern Love est une série universelle sans âge et sans genre disponible dans son intégralité sur la nouvelle plateforme de streaming de M6.
Adaptation romanesque de vrais témoignages qui fait les beaux jours d’une chronique du New York Times du même nom, Modern Love est une série qui essaie d’encapsuler le plus grand nombre de relations affectives utilisant, pour ce faire, un casting qui exsude le mot « talent ». Des relations affectives au sens large du terme qui confèrent à la série toute son originalité et son universalité. N’importe quel être humain peut se projeter dans l’un des épisodes et reconnaître qu’il a été aimé, d’une manière ou d’une autre. Et pour faire passer ce message, la production a fait appel à des acteurs dont les noms devraient faire tourner la tête des sériephiles. Ainsi, on retrouve Tina Fey, actrice et créatrice de 30 Rock, Olivia Cooke, qui interprète actuellement Alicent Hightower dans House of the Dragon, Kit Harington, qui jouait Jon Snow dans la série mère Game of Thrones, Cristin Milioti, la mère de How I Met Your Mother, John Slattery de Mad Men ou encore Anna Paquin, l’inoubliable Sookie Stackhouse dans True Blood. Quelques visages connus du grand écran font également une apparition dans la série, dont une Anne Hathaway absolument parfaite dans le rôle d’une jeune femme bipolaire qui nous gratifie de surcroît d’un épisode aux airs de comédie musicale taillé spécialement pour elle.
Et si une série sur l’amour ne peut évidemment faire l’impasse sur l’émotion, la grande force des intrigues de Modern Love est de ne jamais tomber dans le pathos. Au contraire, les scénaristes ont mis un point d’honneur à garder une légèreté bienvenue – après tout, la série est estampillée comme une comédie – entérinée par le format de 30 min de chaque épisode qui fait naître un rythme enlevé et particulièrement digeste. Une fiction feel good qui se regarde facilement, à consommer sans se rationner !
Commentaires (23)
Encore un épisode bien fait. Grâce à Pryce, d’abord, qui fait tout pour s’en sortir financièrement, en grugeant la boîte sans la gruger… Remarquable de ressources vaines et désespérés, le comédien est excellent pour les transmettre ! A Joan ensuite, magnifique dans la dignité de paraître, dans la blessure que l’on tait… Don grand seigneur ou Megan qui veut exister, bon, c’est pas le plus intéressant… Harry et son pote de chez Krishna, oui, c’est bien traité, mais ça ne vaut pas les deux premiers… Et comme les autres, on les voit peu, l’épisode tient vraiment à ces deux personnages un peu oublié durant les derniers épisodes. Joli retour !
Merci à tous! Promis je ferai moins long la prochaine fois.
Episode très surprenant qui je pense amorce le "sprint final" dans lequel tout va se délier (ou se nouer encore plus ?). S'il y a un truc que j'adore dans Mad Men, c'est comment les derniers épisodes de chaque saison font tout voler en éclat pour nous amener dans une situation stable inédite qui annonce la couleur de la prochaine saison. C'était notamment le cas avec la création de SCDP par le licenciement de toute la boîte, où la demande en mariage d'un Don totalement à la dérive qui voit une lueur d'espoir dans le sourire plein de dents de sa charmante secrétaire canadienne. En cela, je trouve que le générique de la série, en plus d'être graphiquement parfait (avec la musique de RJD2 pour sublimer le tout), pose vraiment les jalons de la série et sa structure narrative : tout (et tout le monde) est on the edge, en chute libre, mais de ce maelström on parvient à une nouvelle zone de confort relative, installé dans son canap'. L'épisode était donc surprenant d'un double point de vue. Tout d'abord concernant Lane, je suis un peu triste de la tournure que tout cela prend pour lui que j'admire beaucoup et qui m'a toujours paru comme étant l'homme vertueux de la série. Même dans son aventure extra conjugale avec sa brown bunny, il avait fait le truc dans les règles en voulant la présenter à son père et à finalement tout pris sur lui (humiliation et retour chez maman). Son comportement est donc surprenant compte tenu de cet aspect "droit" de sa personnalité, mais après coup, c'est en parfait accord avec ce qu'il nous a montré de lui qu'il s'en sort : seul, sans aide et en prenant sur lui, au risque de s'exposer fortement lorsque son château de cartes s'écroulera. (petite parenthèse "déformation professionnelle" pour signaler qu'ils ont pas l'air de rigoler avec les impôts en Angleterre contrairement à notre chère DGFIP. D'ailleurs, pensez à déclarer vos revenus avant le 31 mai !) Autre surprise : le retour de Kinsey m'a mis sur le cul. Lorsque Scarlett annonce "Mr Kinsey" à Harry, j'ai du revenir en arrière pour voir si j'avais bien entendu. Finalement, peu de choses ont changé pour lui, toujours empreint à partir dans les délires du moment afin de se trouver lui même et de trouver quelqu'un qui l'aime. Mais comme le souligne @RaC (que j'ai toujours plaisir à lire ici), son retour n'a rien d'anecdotique tant sa situation est à rapprocher à celle de nos autres protagonistes. Finalement Kinsey cherche de la reconnaissance comme Pete, se ment à lui même comme Don peut le faire concernant sa situation maritale (bien qu'il ouvre une sacré brèche à sa coquille lorsqu'il félicite Joan pour son divorce, scène d'anthologie au demeurant) ou sa motivation professionnelle, ou comme Roger "Womanizer" Sterling qui après avoir trouvé LA vérité dans le LSD n'en pense toujours pas moins qu'avec sa bite et son amour propre, cf la réception des fleurs. Enfin voilà, comme vous tous, j'ai adoré la scène Don/Joan et ses différentes variantes. Joan est vraiment un personnage magnifique et d'une force de caractère à toute épreuve ! Anything else ? Vivement le prochain épisode !
Yo ! Lane ne doit pas d’argent à l’homme au téléphone, c’est sûrement son avocat ou son comptable. On savait que Lane avait quelques soucis d’argent mais sa situation est plus grave que prévu. Lane n’a payé ses taxes en Angleterre et maintenant il risque la prison. You don’t mess with the queen taxes ! Son avocat lui apprend qu’il peut éviter la prison s’il débourse des maintenant la somme de 8000 $ sans compter les honoraires. Lane est dans la mouise et doit rapidement trouver cet argent s’il veut éviter la prison et pouvoir un jour retourner dans son pays. Il tente le coup des bonus mais ça va devenir terriblement compliqué. Finalement on ne sait pas grand-chose de Lane. La scène au théâtre est parfaitement réalisé et croyez-moi je bosse dans un théâtre. Le spectacle America Hurrah est un vrai spectacle de 1966. Une petite référence historique qui participe à la richesse de la série. S’en suit une dispute inévitable, Don n’arrive pas à pardonner à Megan son choix de carrière. Joan devient hystérique quand elle reçoit la demande de divorce, le seul endroit où elle se sentait encore invulnérable vient d’être touché. Dans sa colère, elle jettera la maquette de l’avion, comme un signe annonciateur de la rupture avec Mohawk Airlines. Comme beaucoup d’entre vous, j’ai adoré la longue scène entre Don et Joan. Une alchimie surprenante entre ces deux acteurs rarement exploitée. On a eu droit pas mal de variante pendant l’échange, en premier lieu des confidences puis à une petite tension sexuelle, de l’entraide de type « wingmen ». Très intéressant aussi le moment où Don avoue à Joan qu’il avait peur d’elle au début, tous ces bouquets de fleurs, tous ces hommes qui tombent comme des mouches. Et Joan modeste qui répond "My mother raised me to be admired", ce qui est tristement vrai. Quelle finesse dans les dialogues, je ne le dirais jamais assez. La scène se finira sur une remise en question de Don. Quand ce dernier repart à toute vitesse au volant de sa Jaguar, j’ai eu comme l’impression qu’il avait une pulsion de mort et ce regard sur son visage… terrifiant. La scène est trop courte pour vraiment se faire un avis plus clair. Plus tard, Le bouquet de Fleur de Don avec le message « You mother did a good joob » signé Khan. C’est juste du Mad Men dans toute sa splendeur. Ali Khan était un prince célèbre de l’époque, il fut vice président de l'assemblée des nations unis et il fut le troisième époux de Rita Hayworth, une actrice rousse célèbre. Encore un petit clin d’œil historique parfaitement imbriqué dans la narration. Et comme la secrétaire de l’entrée s’est pris un crash d’avion miniature au visage, c’est Roger qui doit apporter le bouquet. Ingénieux ! Lors de la dernière scène, l’annonce du bonus pour être précis, on a l’impression de voir une mini pièce de théâtre du début à la fin. Don, Roger, Bert, Lane et Pete sont à l’extérieur du bureau comme s’ils attendaient dans les coulisses, ils se préparent tels des comédiens avant un spectacle répétant leurs répliques, leurs déplacements. La salle de réunion est coupée en deux par la table, frontière symbolique entre la scène ou sont les comédiens et la salle ou sont assis les spectateurs. Tous les employés de SCDP attendent le début de la représentation. Les comédiens entrent en scène. Lane, Pete & Roger commencent le spectacle avec une dimension tragi-comique et laissent place au monologue final de Don. Il est intense et très corporel, la manière dont il l’enlève sa veste est assez théâtralisée. A la fin du monologue, applaudissement générale. Don ne savoure pas le salut et s’en va immédiatement suivi de son équipe créative. Les seuls à rester pendant le salut sont Pete et Lane, chacun pour des raisons complètement différentes. N’oublions pas aussi le petit regard entre Peggy et Ginsberg pendant l’annonce de Jaguar. Le combat vient de commencer entre le deux. Concernant le comeback de Paul Kinsey c’est juste imprévisible et osé. Il joue un rôle central dans cet épisode car son histoire représente la trame de fond de qui unifient les autres strorylines mais ça vous le lirez dans ma conclusion. Henry Crane me fais marré et en voir plus sur lui, ça me toujours fait plaisir. En aidant à sa manière son ancien collègue, il a accompli quelque chose dans cet épisode. Je ne m’y connais pas assez en vieux Star Trek mais je me dis que si c’est dans Mad Men, « The Negron complex » a du exister (ou a du être la prémisse d’une version de Star Trek). Quand on connaît un peu le travail de recherche monstrueux de la série, il y a de quoi se poser la question. Roger célèbre à sa manière Pearl Harbor. On a l’impression de le voir se laisser aller, ou est passé le Roger illuminé ? J’espère que c’est par pur patriotisme et que ce n’est pas le début de la descente que je redoutai. A l’image de Paul Kinsey, Tous les perso vont devoir faire face à des mensonges et des vérités, parfois brutales parfois étonnantes mais seul ceux qui seront aidés s’en sortiront. Joan apprend son divorce grâce au mensonge de l’homme de l’accueil qui lui remet le document officiel. Ensuite Joan et Don mentiront au vendeur de voiture, mensonge qui les rapprochera un moment. Les conseils de Don et son soutien moral permettent à Joan d’aller de l’avant. Roger le patriote alcoolisé avoue le génie des Japonais, une vérité drôle et cynique. Juste après il entendra la dure vérité concernant son aventure avec Joan : Il ne pourra ni voir ni aider son enfant. Plus tard avec le coup des fleurs pour Joan, on sent que c’est la nouvelle de trop. J’espère que le récent éveil de Roger va l’aider à traverser cette période difficile dans tous les domaines. Lane s’enfonce dans le mensonge, il ment à sa femme, la seule à être vraiment avec lui. Ce mensonge a un goût amer. Il pourrait en parler à Don (peut-être son seul ami au sein de SCDP) qui signe des chèques de 6000 $ comme si de rien n’était mais il tient absolument à rester secret. Dans cette config personne ne pourra lui venir en aide excepté son avocat qu’il l’a aidé à éviter la prison mais à quel prix ? Quand la vérité éclatera ça va faire mal. Concernant le script « The Negron Complex » Henry Crane ne sait pas s’il doit mentir ou dire la vérité à Paul Kinsey. Peggy l’encourage à lui parler franchement. Après la visite torride et malsaine de Lakshmi, Henry Crane fera le choix d’aider son ami en lui mentant pour son bien au lieu de lui dire la cruelle vérité. Il lui donnera 500 $ et l’incitera à tenter l’aventure à Los Angeles. Pete doit face à plusieurs vérités cruelles. 1 : il n’est pas Don. 2 : Personne ne l’aime. 3 : Tout le monde se fout que SCDP a été choisi parmi pleins d’autres agence pour « Pitcher », ils veulent des contrats signés, des clients surs. Don se ment à lui-même depuis quelques temps, il adore son métier mais depuis son histoire avec Megan, il a carrément délaissé son travail. -Après les coups de pied au cul de Pete : “Yes. You may have to stay past 5:30.” et “You know, if I told you last December that we'd be in the running for a car, you would have kissed me on the mouth”. -Après les coups de pied au cul de Megan Megan : You used to love your work Don : Well, it's different there now. Megan: You loved it before you ever met me. -Après le coup de pied au cul de Joan “ He knows. It's just the way he is and maybe it's just the way she is.“ Dans un sens, il est celui qui reçoit le plus d’aide et de vérité. Don décide de se convaincre pendant son monologue final. On peut espérer qu’il s’en sorte mais j’ai des doutes, son problème ne vient pas de son travail. Attention à la noyade au champagne Don. Déjà 10 épisodes, le temps passe trop vite. Plus que 3 épisodes et ça sera reparti pour une longue attente à regarder des trucs moins intéressants voir emmerdants . Purée c'est long comme texte en faite, désolé. Quand on aime on ne compte pas.
J admire voir Megan tenir tête à Don ! L'opposé de Betty et j adore ! Sinon bien aimé la scène entre Joan et Don
Comme beaucoup, j'ai énormément apprécié cette séquence entre Joan et Don. J'ai peu de souvenirs de scènes avec ces deux personnages (de scènes longues, j'entends), alors qu'on voit qu'ils fonctionnent superbement ensemble. La façon dont il joue un couple devant le vendeur de Jaguar, le jeu de vérité et de séduction au bar... Encore !!! Lane qui est dans la m*rde financièrement... ben je vous avouerai qu'avec la piètre qualité des sous-titres, je n'ai pas bien compris pourquoi il doit 8000$ à un autre british. Enfin, tout ça pour l'amener à devoir magouiller, pas très subtilement, avec les comptes de SCDP alors que tous lui font confiance. Pas inintéressant, mais mal vendu. Kinsey soumis à un gourou hindouiste par amour pour un ex-junkie, et c'est Harry qui en fait les frais. Comme d'habitude dans Mad Men, s'il y en a un qui ne comprend rien à ce qu'il lui arrive, c'est Harry ! Il connait une transe en communion avec Krishna, il se retrouve avec une fille à quatre pattes sur son bureau qui lui dit : "Viens, je t'attends" juste avant qu'elle ne le gifle. Du grand n'importe quoi, mais après tout, ça contraste avec le reste des storylines de cet épisode. Sinon, rien de neuf sous le soleil : Pete finit par bouder parce que personne ne le congratule pour avoir amener un gros contrat, le couple de Don et Megan part à volo, Roger continue son baratin sur ses révélations sous LSD. Seul espoir à l'horizon : Don se remet à trainer hors de son domicile, à carburer au whisky et à être décidé à trimer comme un dingue. Le Don qui nous a convaincu de suivre cette série, en somme.
Pas le meilleur épisode de la saison, mais un gros recentrage sur les personnages-clés de la série : Don, Joan, Lane, Pete, Roger et Bert. Beaucoup aimé la storyline entre Don et Joan, ça fait du bien de les voir passer un peu de temps ensembles...surtout quand on voit l'ambiance des 2 à la maison. Etonné que Lane vole dans les caisses : il avait l'air intègre jusque là, mais semble en réalité cribblé de dettes dont on ignore la source...on en sera peut-être plus dans les prochains épisodes... Gros WTF pour l'histoire autour de Krishna :D Et la Jaguar Type E...
un peu déçu du retour de Lane, je m'attendais à plus que ça. J'ai pas trop compris d'ailleurs qui c'est le gars qu'il a au téléphone et qui veut 8000 dollars ?? Argent qu'il par ailleurs pique à Don, le saligaud Sinon les meilleurs scènes sont celles du duo Don/Joan, ça fait vraiment plaisir d'avoir une storyline entre ces deux-là. Don qui joue même le matchmaker pour Joan :D Retour également de Paul Kinsey qui s'est converti à une sorte d'Hindouisme, je ne sais quoi, bah c'était sympa, mais bon ça avance pas grand chose dans le schmilblick. Et le retour de SCDP dans la course pour Jaguar afin d'essayer de devenir l'une des plus grandes agences de pub de Mad Avenue, hâte de voir la suite de l'histoire. J'ai bien aimé le vent que se prend Peter à la fin, ça montre bien que quel que soit les efforts qu'il investit dans la société, il n'arrive pas à la cheville de Don et de son speech final. Bref un épisode bien sympa, loin d'être le meilleur de la saison
L'anglais qui commence à détourner de l'argent et être malhonnête. Il devient dès lors plus irrité et ça se voit. Roger boit pour Peal Harbor ou pour noyer un autre évènement? Peter qui cherche encore et toujours de l'attention et du dévouement au travail qu'il ne trouve pas à l'agence, c'est alors que Don qui donne un coup de boost avec un petit speech accrocheur. Un ancien collègue qui part chez des indiens sectaires parce que il y a une ancienne junkie qui est attirante. Comme toujours, ça à l'air d'être un coup foireux et le coup du gars qui croit qui a du talent parce que ses potes n'osent pas lui dire la vérité. Don et la voiture, c'est définitivement mon dieu. Et le prochain qui fait pleurer Joan, je lui casse sa gueule. Comment peut-il penser humilier une telle bonté? L'autre Megan la frustrée qui pète les plombs pour un rien. Tout ça pour dire que celui qui dit que dans Mad Men, il ne se passe rien, je lui envoie un certain H1976 pendant 3 mois.
Ce moment où Don rentre pompette et qu'il jette sa veste sur la lampe qui se casse la gueule, j'ai tellement ri! :D