Un brillant artiste se rappelle son passé et son ascension vers la gloire avant de révéler son chef-d'œuvre final.
Retour dans le passé quand Netflix faisait encore de la location de DVD, puisque c’est le job qu’occupe Ramona Flowers quand elle débarque à Toronto. Scott Pilgrim a rêvé d’elle, et va pour elle affronter la ligue de ses ex. Eh oui, les romans graphiques de Bryan Lee O’Malley reprennent vie non pas en film cette fois-ci mais en série d’animation avec Scott Pilgrim prend son envol. Qui semble être la continuité du film puisque tous les acteurs ont répondu présent pour doubler leurs personnages respectifs (Michael Cera évidemment, Mary-Elizabeth Winstead, Chris Evans, Brie Larson, et la liste de noms est bien trop longue pour tous les inclure !). Mais ça donne quoi quand l’adaptation est faite par un studio japonais ? C’est Science Saro qui s’y colle et on retrouve des grands yeux expressifs qui se marient avec une ambiance bien canadienne (le froid et la neige, oui). Si les deux premiers épisodes semblent assez similaires au film, la suite s’éloigne un peu plus. Mais l’essence marginale de Scott Pilgrim est bien là.
Le Collège noir c’est trois BD qui devient une série animée en six épisodes avec le studio La Cachette. Le nom ne doit pas vous être inconnu, ils ont participé à l’anthologie Love, Death & Robots produite par David Fincher et ont également eu un épisode de Star Wars Visions. Ulysse Malassagne qui est le co-fondateur du studio, mais également l’auteur du Collège noir vient donc adapter sa propre série pour leur première œuvre originale.
Bienvenue dans le Cantal où Ulysse (oui, ça se veut autobiographique) vit dans un internat avec ses camarades. Mais un des leurs disparait et tout le monde a l’air de l’avoir oublié. Alors lui et sa bande de copains vont enquêter sur cette disparition et découvrir de nombreuses légendes locales. L’internat perdu au milieu de nulle part met en scène Lena, la surveillante assez laxiste et Ouss, Mei, Ulysse et compagnie. Si les personnages sont les mêmes, l’histoire va différer un peu entre les pages et l’écran.
Commentaires (24)
@man-on.the.moon, même très grosse référence au bleu Klein, mais aussi à Picasso (période bleue) ou Malevitch (carré blanc sur fond blanc) et peut-être d’autres… Je vais achever de faire ma pouffiasse et demander si Zima n’est pas un Candide qui a rêvé de moutons électriques ? Il ne cultivera pas son jardin, il nettoiera sa piscine. Pour ceux qui n’ont pas compris, c’est fichu pour le bac.
C'est quand même de la bonne que prennent les scénaristes.
Magnifique et terriblement poétique. Mon préféré
Son obsession l’a ramené à ses origines. Très beau.
Poetique
Vraiment pas convaincant...
Je l'ai trouvé super sympa celui là, le style visuel est vraiment original pour une fois. Par contre l'histoire faussement philosophique est vraiment stupide... moyen au final.
Très philosophique !
Mis à part des inutilités scénaristiques qui viennent, à mon sens, contrer la représentation épurée visuellement de cet épisode, je l'ai trouvé très beau, très doux. Son intérêt, au-delà du questionnement sur la fonction que l'on cherche à atteindre et accomplir dans notre existence, réside dans la contemplation de son style onirique et minimaliste, et est pûrement contemplatif. Bref il faut juste se laisser rêver
Après avoir lu les commentaires ici, j'ai visionné une seconde fois cet épisode au cas où j'étais passé à côté de quelque chose. Mais non, cet épisode n'a vraiment aucun intérêt, impossible de comprendre l'engouement autour.
Super poétique
Un très bon épisode !
Je ne comprend absolument pas votre enthousiasme. En plus d'être effroyablement long, c'est incroyablement laid...
Probablement mon préféré jusqu'ici, le récit est passionnant et on ne décroche pas une seule seconde!!
Le plus beau dans tous les sens du dictionnaire. Le plus onirique aussi.
Épisode qui fait réfléchir sur la quête de notre bonheur, c’est mon épisode préféré.
Un de mes préférés je pense car on peut y trouver un propos sur l’humanité qui cherche toujours plus, obsédée à trouver la vérité alors que le bonheur peut se trouver dans des choses simples. C’est pas non plus révolutionnaire comme propos mais ça change des épisodes qui sont justes des démonstrations esthétiques et techniques.
Cet épisode m'a tué xD
Vraiment une belle histoire
Je veux la même drogue que les auteurs de cet épisode...