José est furieux car il ne supporte pas la présence de Philippe dans la maison de campagne. Ingrid fait tout son possible pour ménager les deux hommes. A la nuit tombée, Noémie retrouve Ingrid dehors pour continuer les fouilles, mais lorsque Christian veut la rejoindre dans sa chambre, personne ne lui répond. Laly va voir Bénédicte dans le but de lui révéler les infidélités de son prétendu petit ami, mais celui-ci arrive juste avant elle pour qu'elle ne puisse pas révéler la vérite à Béné. Julien jure qu'il n'est plus l'amant de Claude mais Laly n'en croit rien. Alors que Nicolas est très perturbé par sa liaison avec Fanny, Jeanne l'observe. Elle avoue à Rudy l'incartade de Nicolas et son désarroi face à la situation...
Avec Télé 7 jours, découvrez le programme qui fait l’actu à la télévision. L’emblématique Justine Girard de Premiers baisers retrouve ses complices le temps d’une soirée spéciale Noël des Mystères de l’amour disponible sur TF1+.
Mariée et mère de quatre enfants, elle a radicalement changé de vie. Pourtant, si Camille Raymond travaille aujourd’hui pour la communication de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), elle n’oublie pas ses premières amours. Ce dimanche 10 décembre, à 21h10 sur TMC, elle sera à l’affiche du prime spécial Noël des Mystères de l'amour, qui réunit tous les comédiens d’AB Productions.
« J’ai dû demander une autorisation et poser deux jours de congés, confie-t-elle. Je suis heureuse de retrouver tous ces comédiens que j’ai connus quand j’avais 16-17 ans. On passe un bon moment. Je suis restée huit années aux États-Unis (elle travaillait pour le Fonds monétaire international, ndlr) et j’avais perdu de vue certains de mes complices de l’époque. Maintenant que je suis de retour en France, c’est plus facile. » Camille Raymond aimerait monter sur les planches : « Je vais beaucoup au théâtre et cela me brancherait bien. » À moins que Jean- Luc Azoulay, boss d’AB Productions, ne lui propose un spin-off de Premiers baisers. « L’idée a flotté et, avec Jean-Luc, on ne sait jamais ! »