Christian et Noémie sont inquiets de l'absence de Lucile. Celle-ci a en réalité tenté de mettre fin à ses jours en se jetant dans l'étang. Deux jeunes filles de la ferme sont venues à son secours et l'on sortie de l'eau. Elles encouragent vivement Lucile à venir avec elles dans la ferme. Sur place, Virgile lui présente Angèle. Ingrid passe un accord avec Virgile. Elle aura un pourcentage de l'argent si elle réussit à le trouver dans la ferme. Ensuite ils se rendent à la maison de campagne où s'est réunie toute la bande. Dan est toujours sous le charme d'Hélène. Ingrid profite d'une balade avec José pour repérer les lieux et découvre une cachette dans laquelle se trouvent des documents datant de la Seconde Guerre mondiale...
Avec Télé 7 jours, découvrez le programme qui fait l’actu à la télévision. L’emblématique Justine Girard de Premiers baisers retrouve ses complices le temps d’une soirée spéciale Noël des Mystères de l’amour disponible sur TF1+.
Mariée et mère de quatre enfants, elle a radicalement changé de vie. Pourtant, si Camille Raymond travaille aujourd’hui pour la communication de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), elle n’oublie pas ses premières amours. Ce dimanche 10 décembre, à 21h10 sur TMC, elle sera à l’affiche du prime spécial Noël des Mystères de l'amour, qui réunit tous les comédiens d’AB Productions.
« J’ai dû demander une autorisation et poser deux jours de congés, confie-t-elle. Je suis heureuse de retrouver tous ces comédiens que j’ai connus quand j’avais 16-17 ans. On passe un bon moment. Je suis restée huit années aux États-Unis (elle travaillait pour le Fonds monétaire international, ndlr) et j’avais perdu de vue certains de mes complices de l’époque. Maintenant que je suis de retour en France, c’est plus facile. » Camille Raymond aimerait monter sur les planches : « Je vais beaucoup au théâtre et cela me brancherait bien. » À moins que Jean- Luc Azoulay, boss d’AB Productions, ne lui propose un spin-off de Premiers baisers. « L’idée a flotté et, avec Jean-Luc, on ne sait jamais ! »