Duflot se rend à Chypre où Marina est contrainte de passer quelques jours de vacances. Il tente d'en savoir plus sur les relations que Shapur aurait pu entretenir avec les Américains, à Téhéran ou à Paris. Debailly avance peu à peu ses pions pour parvenir jusqu'à Chevalier. Céline le seconde dans cette délicate mission. Ils jettent leur dévolu sur un journaliste allemand, Andreas Schnabel, spécialisé dans les reportages chocs et qui a ses entrées chez Daech...
La dernière nouveauté française sur Netflix est pleine d'ambition. Avec Furies de Jean-Yves Arnaud, il s'agit du meilleur démarrage pour une série française sur la plateforme après Lupin.
Pour conserver leur fortune et entériner leur pouvoir, les grandes familles de la pègre parisienne font appel à une tueuse pour éliminer les « obstacles » qui les empêcheraient de régner. Personne ne connaît son visage, mais tout le monde a déjà prononcé son nom : la furie. Lina est une jeune femme dont le père, en charge des comptes de la mafia, vient d’être éliminé sous ses yeux. Assoiffée de vengeance et convaincue que le meurtre de son père a été perpétré par la furie, elle va se mettre à la recherche de cette légende pour lui faire payer son geste. Une quête qui va l’amener à faire des découvertes auxquelles elle n’était pas préparée.
Furies est une série Netflix déclinée en 8 épisodes qui fait la part belle aux scènes d’action. Plutôt évident quand on choisit de baser son intrigue sur des tueuses, des gardiennes de l’ordre, appartenant à la pègre parisienne. Mais Furies place la barre haut en y insufflant beaucoup de rythme tant au niveau des mouvements des acteurs que ceux de la caméra. Des situations dans lesquelles on a peu l’habitude de voir Marina Foïs, qui joue Selma une des furies, une actrice qui oscille plutôt entre comédie et drame. Face à elle, Matthieu Kassovitz (Malotru dans Le Bureau des Légendes) interprète son frère, Driss. Un garçon né dans une lignée où seules les femmes comptent. En effet, les Furies appartiennent toutes à la même famille, se transmettant de mère en fille l’héritage de la violence. Lina (Lina El Arabi) représente d’ailleurs le futur des furies, obligée de plonger malgré dans un univers de violence et de corruption qu’elle a toujours cherché à fuir.
Commentaires (11)
Un épisode plus calme dans le sens où on ne retient pas son souffle tout du long en craignant pour un personnage (sauf peut-être la fin (oui, parce que moi, Shapur, tant pis, hein…)). Mais qui reste brillant dans les manipulations de Malotru qui a toujours un coup d’avance ou les enquêtes de Duflot ; palpitant pour le montage de l’attentat et touchant par les scènes avec la fille de Malotru ou ses révélations à Nadia…
Je le trouve mignon avec sa gueule toute gonflée ce Shapur!! de quoi lui remettre les idées en place,lui qui se croyait au-dessus des lois grâce à son papa...^^^^
La complicité entre Malotru et sa fille est touchante,cela dis je suis assez inquiet des évènements à venir..
Mais quel branquignol ce Shamur
Ben maintenant on sait pour les noms de code ! Pitecantrop ! Et oui Phénomène profite de l’amateurisme de Shapur.
J’aime bien que les noms des clandestins viennent des insultes du capitaine Haddock, j’aime bien aussi que la mule ressemble à Miranda Bailey de Grey’s Anatomy
Sapajou, australopithèque, ornithorynque ☠️
Excellent épisode ! Que de péripéties ! J'ai particulièrement apprécié l'échange entre la Mule et Prune, inattendu, rafraîchissant.
Rami ? C'est qui Rami ? Tu parles de Nadim ou de Nadia la non ? Sinon toujours excellent, reste plus que 2 épisodes pour conclure cette énorme saison ! :)
Ce Shamur non vraiment mais c'est le Johnny English iranien lol La mule parle quelle bonne suprise ;) Sinon trêve de plaisanteries épisode très bon. Même si je ne sais pas trop pourquoi Rami couvre Debailly...