On élabore un stratagème pour amener Kerbouche à la DGSE. Il raconte la vérité sur Cyclone. Le temps presse. Cyclone est en danger de mort.
Le Quai d’Orsay apprend la réalité des négociations secrètes. La DGSE monte une opération de recrutement de Nadia. Mais Marie-Jeanne est convaincue que Malotru n’a pas tout dit lors de sa confession. Nadia acceptera-t-elle d’être recrutée ?
Marie-Jeanne donne une leçon douloureuse à Marina pour lui démontrer qu’elle n’a pas le loisir de s’attacher à des sources potentielles.
La dernière nouveauté française sur Netflix est pleine d'ambition. Avec Furies de Jean-Yves Arnaud, il s'agit du meilleur démarrage pour une série française sur la plateforme après Lupin.
Pour conserver leur fortune et entériner leur pouvoir, les grandes familles de la pègre parisienne font appel à une tueuse pour éliminer les « obstacles » qui les empêcheraient de régner. Personne ne connaît son visage, mais tout le monde a déjà prononcé son nom : la furie. Lina est une jeune femme dont le père, en charge des comptes de la mafia, vient d’être éliminé sous ses yeux. Assoiffée de vengeance et convaincue que le meurtre de son père a été perpétré par la furie, elle va se mettre à la recherche de cette légende pour lui faire payer son geste. Une quête qui va l’amener à faire des découvertes auxquelles elle n’était pas préparée.
Furies est une série Netflix déclinée en 8 épisodes qui fait la part belle aux scènes d’action. Plutôt évident quand on choisit de baser son intrigue sur des tueuses, des gardiennes de l’ordre, appartenant à la pègre parisienne. Mais Furies place la barre haut en y insufflant beaucoup de rythme tant au niveau des mouvements des acteurs que ceux de la caméra. Des situations dans lesquelles on a peu l’habitude de voir Marina Foïs, qui joue Selma une des furies, une actrice qui oscille plutôt entre comédie et drame. Face à elle, Matthieu Kassovitz (Malotru dans Le Bureau des Légendes) interprète son frère, Driss. Un garçon né dans une lignée où seules les femmes comptent. En effet, les Furies appartiennent toutes à la même famille, se transmettant de mère en fille l’héritage de la violence. Lina (Lina El Arabi) représente d’ailleurs le futur des furies, obligée de plonger malgré dans un univers de violence et de corruption qu’elle a toujours cherché à fuir.
Commentaires (5)
Peut-être un peu moins prenant en suspense que l’épisode précédent mais désormais, toujours excellent. Les magouilles, astuces, interrogatoires psychologiques, discussions politico-stratégiques… Tout fonctionne super bien et c’est un plaisir à suivre !
Vraiment haletant !! J’adore les flash-forward, on se demande vraiment ce qui a pu (et donc va) se passer pour en arriver là !
Je n'arrive pas a visioner ... y a t il un cout ?
Toujours aussi bien !