- Sortie originale
- Épisode précédent S02E13 - 5 minutos antes
- Numéro S02E14
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Réalisateur
Javier Quintas
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Scénaristes
Luis Moya
Esther Martínez Lobato
Emilio Díez
- Pays Espagne
- Genres Action, Crime, Drame, Mystère, Thriller
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Dernière mise à jour
12 octobre 2024 - 21:33
sur 11 bases de données -
KO técnico
Gandía retient Nairobi en otage pour négocier. Le Professeur cherche désespérément un nouveau plan pour sauver les siens.
Deux ans après la fin de La casa de papel, Netflix nous offre, ce 29 décembre, la tant attendue Berlín, un spin-off qui a créé l'attente (et les attentes) dès le moment où il a été proposé, alors que la série originale était à peine terminée. Et il ne pouvait en être autrement : le public avait envie d'en savoir plus sur Andrés Fenollosa, dont le personnage cruel, charismatique et mystérieux a su éveiller la curiosité des téléspectateurs. Álex Pina et Esther Martínez Lobato ne se sont donc pas fait prier et nous proposent huit épisodes qui nous ramènent à l'âge d'or de Berlin, incarné bien sûr par Pedro Alonso, qui décide de s'entourer d'une équipe d'élite pour réaliser un coup extraordinaire à Paris : faire disparaître 44 millions de bijoux comme s'il s'agissait d'un tour de magie.
Un vol impossible et une bande de personnages menée par un chef excentrique qui semble tout contrôler. Une prémisse qui semble avoir été copiée sur les débuts de La casa de papel, qui commençait également par le cambriolage de la Monnaie sous les ordres du Professeur. Berlin reprend également de son prédécesseur une double ligne temporelle, dans laquelle nous assistons aux événements présents et à des flashbacks qui nous permettent d'élucider comment tout a commencé. Berlin n'est pas avare de clins d'œil à la série originale, avec notamment l'incorporation de Najwa Nimri et Itziar Ituño pour jouer les policiers Alicia Sierra et Raquel Murillo, deux vieilles connaissances des fans de La casa de papel.
Mais, comme on dit, le diable est dans les détails. Là où La casa de papel était dramatique, violent et sombre, Berlin est plus décontracté, et même parfois drôle, troquant la dichotomie rouge-noir qui caractérise la série originale pour un timbre parisien coloré et lumineux. Un changement d'air qui se reflète fortement dans le personnage clé : nous trouvons une version beaucoup plus amicale, humaine et charmante de celui que nous avons rencontré dans la Monnaie, un véritable coup de cœur qui profite de ses meilleurs moments dans la capitale française. Peut-être est-ce tout simplement parce que l'amour lui fait du bien. Ce qui nous amène à nous demander si c'est précisément ce qui s'est passé à Paris qui l'a changé pour toujours, ou si nous le verrons dans les prochaines saisons ?
Commentaires (54)
Les trop nombreux sévices infligés à Nairobi sont horribles. Je sens une sale odeur de racisme derrière, avec l'expression "voleuse de poules" répétée encore et encore.
Chaud !!! Un très bon épisode, malgré les Strormtroopers...
Comment c'est possible de viser aussi mal ! RIP
Je pensais que les Stormtroopers étaient de très mauvais tireur mais y’a pire qu’eux...
Je suis dégoûté du sort de Nairobi: en plus d'être le meilleur personnage, ils ont passé la moitié de la partie 4 autour de son opération et de ses soins pour finalement la tuer d'autre chose... J'espère juste que ça permettra au professeur et autres de ses secouer un peu et de retrouver leur splendeur passée. Parce qu'avec la pauvre Lisbonne bloquée chez les flics depuis 6 épisodes, et tous les autres complètement dépassés par la situation, on est loin de l'équipe de choc qui planifie toutes les possibilités. C'est vrai que le plan était moins parfait, mais quand même... Entre Palerme qui libère Gandia "pour protéger le plan" et Rio qui hésite à tirer, ils sont mal partis...
Bon bah voilà ...
Non non non pas Nairobi ! Mon perso prefere en +
La mort de Nairobi est la seule chose intéressante de cette 4ème partie.
Vraiment de plus en plus de nul
triste de voir mourir Nairobi, même si je le sentais depuis quasiment le début de l'épisode avec ces flashbacks laissant envisager un futur positif, c'est rarement bon pour le personnage concerné dans les séries. Nairobi étant mon personnage préféré et la seule chose qui me faisait vraiment continuer de regarder (car je trouve que ca tourne trop en rond), je vais quand même regarder jusque la fin de la saison pour au moins voir comment ca se finit, mais je pense m'arrêter là...
Aucune émotion pour Nairobi, ça montre bien que c'est mauvais. Non, mettre une musique triste sur la mort de quelqu'un avec des images de ses potes pleurant sans les entendre ne suffit pas, c'est juste cliché et déjà vu (bon pis avoir une scène de cartoon juste avant où le mec fait une représentation de roulades et plongeons façon danse avec les stars mixé avec matrix, ça n'aide pas...). On est loin de la saison 1 !
Franchement bien pourri ! Le mec est a deux mètres, ils sont tous armés en face et personne n'arrive a faire quoi que se soit ?!? Pas une balle ne l'atteint ?!??? La c'est plus crédible ! C'est vraiment dommage......
La saison de trop
Enfin il se passe quelque chose. Mais c’est le degré 0 des scénaristes. En venir à tuer un personnage ça prouve qu’ils ne savaient pas où aller. Quel désastre cette série c’est un massacre, pire que toutes les fins de séries Netflix que j’ai eu l’occasion de voir. Ah si House of Cards était encore pire.
Bye bye Nairobi 🤧 Sympa ce petit Damien Rice pour finir l’épisode 😉
Wow, coup dur ! Cet ascenseur émotionnel qui nous tient en haleine pendant tout l'épisode (voire les précédents aussi) pour laisser finalement tomber le couperet à la fin avec une sécheresse inouïe, c'est... dur mais bien fait. J'en suis tout abasourdi.
Nooon je ne voulais pas la voir mourrir !
C’est pas bien folichon mais dans l’esemble ça se laisse regarder et comme on a rien d’autres à faire ....
Je comprends vraiment pas les critiques. J'adore cette saison, j'adore Rambo, l'épisode était génial malgré la fin terrible de Nairobi. Franchement 5 étoiles sans hésiter.
C’est assez mauvais consacrer 3 épisodes sur Rambo, on s’ennuie un peu. On perd l’essence même de CdP, l’anticipation et contrôle.