- Sortie originale
- Épisode précédent S02E07 - Pequeñas vacaciones
- Numéro S02E08
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Réalisateur
Jesús Colmenar
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Scénaristes
Luis Moya
Emilio Díez
Almudena Ramirez Pantanella
- Pays Espagne
- Genres Action, Crime, Drame, Mystère, Thriller
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Dernière mise à jour
12 octobre 2024 - 21:33
sur 11 bases de données -
La deriva
Tokyo essaie de noyer son chagrin. Sierra adopte une tactique très ciblée pour mettre Nairobi en position de faiblesse, tandis que Suárez continue de traquer Raquel.
Deux ans après la fin de La casa de papel, Netflix nous offre, ce 29 décembre, la tant attendue Berlín, un spin-off qui a créé l'attente (et les attentes) dès le moment où il a été proposé, alors que la série originale était à peine terminée. Et il ne pouvait en être autrement : le public avait envie d'en savoir plus sur Andrés Fenollosa, dont le personnage cruel, charismatique et mystérieux a su éveiller la curiosité des téléspectateurs. Álex Pina et Esther Martínez Lobato ne se sont donc pas fait prier et nous proposent huit épisodes qui nous ramènent à l'âge d'or de Berlin, incarné bien sûr par Pedro Alonso, qui décide de s'entourer d'une équipe d'élite pour réaliser un coup extraordinaire à Paris : faire disparaître 44 millions de bijoux comme s'il s'agissait d'un tour de magie.
Un vol impossible et une bande de personnages menée par un chef excentrique qui semble tout contrôler. Une prémisse qui semble avoir été copiée sur les débuts de La casa de papel, qui commençait également par le cambriolage de la Monnaie sous les ordres du Professeur. Berlin reprend également de son prédécesseur une double ligne temporelle, dans laquelle nous assistons aux événements présents et à des flashbacks qui nous permettent d'élucider comment tout a commencé. Berlin n'est pas avare de clins d'œil à la série originale, avec notamment l'incorporation de Najwa Nimri et Itziar Ituño pour jouer les policiers Alicia Sierra et Raquel Murillo, deux vieilles connaissances des fans de La casa de papel.
Mais, comme on dit, le diable est dans les détails. Là où La casa de papel était dramatique, violent et sombre, Berlin est plus décontracté, et même parfois drôle, troquant la dichotomie rouge-noir qui caractérise la série originale pour un timbre parisien coloré et lumineux. Un changement d'air qui se reflète fortement dans le personnage clé : nous trouvons une version beaucoup plus amicale, humaine et charmante de celui que nous avons rencontré dans la Monnaie, un véritable coup de cœur qui profite de ses meilleurs moments dans la capitale française. Peut-être est-ce tout simplement parce que l'amour lui fait du bien. Ce qui nous amène à nous demander si c'est précisément ce qui s'est passé à Paris qui l'a changé pour toujours, ou si nous le verrons dans les prochaines saisons ?
Commentaires (60)
Ce dernier épisode, comme toute la saison, ne vaut le visionnage que pour ces 15 dernières minutes haletantes. SPOIL j'aurais nettement préféré que ce soit cette chouineuse de Tokyo qui meure, plutôt que Nairobi la guerrière...
Excellent comme d'habitude. Le passage full Netflix n'a pas entaché la qualité de la série, contrairement à ce que certains pensent.
Une étoile pour la mignonnerie du furet en combi, même s'il n'a servi à rien au final !!! Et une étoile parce que j'ai bien aimé cet épisode. Et c'est bien le seul, le reste était ridicule, ça se laisse regarder mais l'intrigue aurait pu être pliée en trois épisodes ! Ça traîne en longueur et tout ce qu'on voit, c'est un plan bien élaboré (mais pas assez, c'est bien dit), puis tout se passe bien (ou plus ou moins), et ensuite c'est la dégringolade en deux secondes ! Pas sûre d'être au rendez-vous en avril, même si j'ai bien envie de voir la suite (ils sont malins chez Netflix !).
Lol elle est mon perso prefere . Sans elle pas d'intrigues et pas de Casa de Papel. Perso indispensable pour le show!
J’ai enfin trouvé un personnage de série plus détestable que Piper Chapman en la personne de Tokyo! Au final ils vivaient tous leur meilleur vie avant qu’elle ne revienne faire un caprice et mettre tout le monde dans la merde. Dieu que je la hais
Impression mitigée... Je n’ai eu aucune envie d’enchaîner les épisodes comme ce fut le cas pour les deux premières parties. Ça se laisse regarder, c’est du bon entertainment à la Netflix mais pour moi ça reste le pâle reflet américanisé du chef d’œuvre original qu’est La Casa de Papel 100% cépage espagnol. Pas certaine de suivre la 4ème partie et, en tous cas, aucune hâte particulière.
La fin est épique et sauve effectivement une saison bien terne,la suite va valoir le coup!!
Les 15 dernières minutes sauvent un épisode et une saison globalement insupportables.
Degouté pour Nairobi ! J’espere qu’elle ne mourra pas de sa blessure ! Une etoile en moins pour le fayotage sur Neymar qui ne sert à rien du tout !
A chier cette apparition de Neymar, avec du léchage de bottes pendant 3 min
Quel retournement de situation. la nouvelle enquêtrice est redoutable
une dinguerie !!!🔥🔥🔥🔥
Et bé pas terrible tout ça... J’ai dû mettre autant de temps à regarder ces 8 épisodes que lorsque j’avais regardé les 22 épisodes des saisons 1 et 2. Que de lenteurs et de blabla dans cette saison. Rien qui tienne en haleine comme c’était le cas auparavant et qui donne envie d’enchaîner sur un autre épisode. Voilà qui me conforte dans l’idée qu’il ne fallait pas reprendre cette série Alors certes c’est sympa de retrouver les personnages mais c’est malheureusement tout...
Sophia 😍 Piouff prenant ce dernier épisode hâte de voir la suite
BOUM, BANG, PAF, la grosse artillerie américaine a exterminé une excellente "petite" série espagnole. Musiques tonitruantes, personnages surjoués jusqu'à l'absurde, monologues insipides, dialogues vides de sens, scénario abracadabrantesque truffé d'incohérences... 8 épisodes interminables et ennuyeux. Et ce dernier épisode sous adrénaline made in Hollywood avec son message lourdingue écœurant : le gentil Professor pacifiste doit se transformer en Rambo pour "sauver le soldat Lisbonne". Quel gâchis ! Quel ratage :(
Franchement c’est un très bon épisode rien a dire. C’est bien réalisé, les idées sont bonnes. Mais comme depuis le début de cette saison, on se demande si c’est pas elle de trop. Des complications débile de la part de Rio qui préfère foutre tout le monde dans la mer** en larguant Tokyo. Puis cette surenchère constante de pratiquement tout les axes scénaristique, c’est usant. Finalement ce qui sauve réellement, c’est de jouer sur le côté dramatique de la perte de certains membres (comme Nairobi) qu’on aime forcément, et c’est d’autant plus dur à encaisser. Pour le reste je suis vraiment pas emballé, c’est de facilité en facilité, les snipers qui touchent Nairobi mais qui ne sont pas dans l’axe de la porte (donc qu’ils auraient pu facilement neutraliser Tokyo et Rio) Et bien d’autres choses (tout le matériel ramené, fin quand même on parle d’un moteur de bateau, d’un furet et pleins d’autres choses). La saison 4 (fin la partie 4) risque d’être explosive cependant !
En revanche je m'attendais à autre chose avec le plan Alcatraz qui était à déclencher en cas d'extrême urgence qd le prof serait sous pression. Ça n'a occupé la police qu'un cours instant
Je m’y attendais tellement pas 😱😱 Super final! Vivement la suite!
Tout est gros, c'est incohérences sur incohérences encore que Tokyo, elle, reste cohérente dans sa connerie depuis la 1ère partie. Mais j'avoue je marche à fond quand même 😋 je me suis régalée. Vivement la suite parce que là ils sont quand même dans la merde 😰
Pour tous ceux qui critiquent le côté mielleux et les histoires d’amour N’oubliez pas que c’est une série ESPAGNOLE ne pas aimé ça c’est ne pas aimé le côté latino Lisez Les interview du créateur de la série il en parle les espagnols adorent les histoires d’amour en 1ere ça a été créé pour la diffusion chez eux Perso j’adore ce côté là