Le pays est bouleversé par une crise sans précédent : les institutions sont mises à mal et l'opinion publique est en émoi, menaçant la concorde sociale. Francis est au bord du précipice, sur le point de perdre tout ce qu'il a patiemment monté. Doug Stamper, de son côté, tente de garder la tête hors de l'eau tant bien que mal, tandis que Claire joue son dernier va-tout, caractérisé par une cruauté dérangeante...
La tendance aux adaptations n’est pas près de s’arrêter. On vous parlait récemment de En thérapie sur ARTE ou encore Your Honor sur Canal+, qui sont toutes les deux basées sur des séries israéliennes.
On vous propose un retour aux sources avec quatre séries qui ont inspiré les grosses productions américaines, toutes disponibles sur la plateforme ARTE.tv.
On commence par un monument de l’espionnage, Prisoners of War (titre original Hatufim) qui a été l’inspiration derrière les deux premières saisons de Homeland. Comme beaucoup de séries israéliennes, le concept est d’une efficacité redoutable : deux soldats israéliens sont libérés après 17 ans de captivité et retrouvent une société dans laquelle ils n’ont plus de repères. Alors qu’ils essaient de se réinsérer et de surmonter leurs traumatismes, les services de sécurité israéliens s’interrogent : sont-ils devenus des ennemis du pays pendant leur emprisonnement ?