En 1865, un soldat de l'armée confédérée à la poursuite de sa vengeance se fait embaucher sur un chantier ferroviaire.
En 10 épisodes pour sa première saison et une deuxième qui ne devrait pas tarder sur Paramount+, Star Trek: Strange New Worlds est la dernière arrivée dans l’univers des explorateurs de la galaxie. Quand Star Trek: Discovery était probablement la série qui s’éloignait le plus de la saga, Strange New Worlds est celle qui y revient. Déjà par ses personnages familiers, nous voici à bord de l’USS Enterprise avec le capitaine Christopher Pike sous les traits de Anson Mount (Hell on Wheels) apparu dans Discovery pour introduire le spin-off, l’un des capitaines les plus marquants de la franchise qui guidait l’Enterprise avant Kirk. Il est évidemment accompagné de Spock, le Vulcain trop humain dans ses jeunes années interprété par Ethan Peak, et par son Numéro 1 Rebecca Romijn (qu’on n’avait pas vue depuis quelque temps). Pour la saison 2, Paul Wesley a été annoncé pour camper le capitaine Kirk. Même du côté de l’image, on retrouve le petit grain vintage pour rendre la série intemporelle qui rappelle les séries plus anciennes.
Strange New Worlds remet sur le devant de la scène la fonction première de la Fédération : l’exploration spatiale. Là où Discovery tentait de créer une tension politique plus forte avec un voyage dans le temps, la fin du monde, etc., les enjeux sont quelque peu différents ici. Cela ne signifie que Strange New Worlds manque d’ambition, mais simplement qu’elle n’a pas à s’empêtrer dans des histoires parfois confuses pour se contenter de la découverte de nouveaux peuples et cultures, de missions de sauvetages tout aussi spectaculaire mais peut-être moins impactant à l’échelle globale. Ne mentionnons pas Star Trek: Picard qui occupe encore un autre rôle, celui de raviver les plus nostalgiques sans forcément sortir de son petit monde. Pour les néophytes de Star Trek, la porte d’entrée par Strange New Worlds pourrait être intéressante car sans s’embarrasser d’expliquer complètement ce qu’est Star Trek, elle permet de comprendre facilement les enjeux et l’univers.
L’équipage de cette version de l’Entreprise a une excellente dynamique et on prend le temps de rester avec chaque personnage dans un véritable ensemble show. Evidemment, on est en 2023, ce qui suppose une diversité dans la composition de ce groupe, et ça tombe bien puisqu’avec Star Trek, ne serait-ce que par les différentes espèces existantes il y a du choix. La série n’est pas dénuée d’humour non plus avec des peuples qui peuvent être un peu décalés et des personnages qui n’ont pas leur langue dans la poche.
Commentaires (14)
Un pilot qui me laisse sceptique quant à la qualité future de la série. D'ailleurs j'ai regardé ce Pilot il y a bien 6 mois et je n'ai toujours pas eu l'envie de regarder la suite .. A voir !
Pilote qui remplit son rôle, à savoir nous donner envie de regarder la série. Paysage magnifique, et personnage principal bien kiffant.
La dernière scène est énorme.
Plutôt un bon pilote. Un genre que j'ai pas l'habitude de regarder. Je vais suivre même si je trouve dommage que l'histoire soit un peu trop prévisible à mon goût.
Très bon début pour HOW. Enfin un western qui accroche.
Un scénario qui manque d'originalité mais de bons acteurs et une ambiance intéressante. Je vais continuer à regarder.
Ce pilote m'a un peu déçu, et je reste sceptique quant à la suite de la série. Avec toute la pub qu'il y a eu autour, je m'attendais à mieux de la part d'AMC.
Ca s"annonce très très bien..!
Excellent.
En deux mots : j'ai kiffé. Le jeu d'acteur n'étais pas trop mauvais, l'idée pas mal, il faut simplement que l'histoire se mette un peu plus en place. Mais ce qui m'a surtout plu, c'était le paysage. Bon Dieu, une série qui donne envie d'aller au Nebraska-ou-autre-état-de-l'Ouest. Je ne me suis pas ennuyé pour un sou et j'ai très envie de voir la suite. Bref, pour l'instant (et même si on ne peut réellement juger au bout d'un épisode), c'est une petite réussite d'AMC :) (Oh ! Et j'adore le générique !)