Pendant que le Docteur est enfermée dans une prison extraterrestre de haute sécurité dans l'espace, ses amis Graham O'Brien, Ryan Sinclair et Yasmin Khan découvrent l'existence d'un plan mettant en jeu les Daleks, et doivent réussir à le combattre, aidés par le Capitaine Jack Harkness.
La saison 2 de House of The Dragon sera disponible en France dès le 17 juin. Mais presque deux ans se sont écoulés depuis le final de la saison 1 et un petit rappel s’impose ! Pour cela, plusieurs options : rattraper les 10 épisodes précédents sur la plateforme Canal+ Séries Suisse (un pack spécial et limité est en cours au prix de 15 francs suisses) ou alors lire avec attention le résumé suivant ! Basée sur le livre Fire & Blood de George R.R. Martin, la série HBO explore l'histoire de la maison des dragons, les Targaryen, 200 ans avant les événements de Game of Thrones, la série mère. Le récit commence avec le roi Viserys I Targaryen, joué par Paddy Considine, qui doit choisir un successeur parmi ses proches. Malgré la tradition patriarcale, il désigne son seul enfant, une fille prénommée Rhaenyra Targaryen (Emma D'Arcy) comme héritière du trône de fer, au détriment de son oncle, Daemon (Matt Smith, onzième docteur dans Doctor Who) à qui devait revenir le titre. Une décision qui provoque des tensions tangibles au sein de la cour et sème les graines de la discorde qui fera éclore une guerre civile connue sous le nom de Danse des Dragons. Aux côtés des Targaryen, gravitent Otto Hightower (Rhys Ifans), Main du Roi, et sa fille Alicent (Olivia Cooke) qui, eux aussi, ne voient pas d’un bon œil la nomination de Rhaenyra à la tête de la dynastie. Une nomination qui va, par ailleurs, complètement gangréner la relation amicale entre l’héritière Targaryen et Alicent qui ont pourtant grandi ensemble.
Comme dans Game of Thrones, les héros de House of the Dragon ont une notion somme toute relative de la notion de famille. Ainsi, dans la première saison, on a vu Daemon embrasser sa nièce et tenter d’aller plus loin alors qui lui offrait une soirée incognito dans la ville. De même, Otto, assoiffé de pouvoir, pousse sa propre fille dans les bras de Viserys dans l’espoir qu’un jour un membre de la famille Hightower monte sur le trône de fer. Lorsqu’Alicent tombe enceinte, il semble toucher du doigt son rêve de toujours, mais c’est sans compter sur la volonté absolue du roi de garder intacte la nomination de sa fille. Fou de rage, Otto conditionne sa fille pour mener la vie dure à son ancienne meilleure amie. Une animosité qui va devenir l’un des éléments centraux de ces dix premiers épisodes de House of Dragon et qui va, petit à petit, creuser des sillons de haine bien plus profonds que ces premiers chapitres ne laissent présager.
Entre combats aériens à dos de dragons et trahisons terrestres, les dix premiers épisodes de House of the Dragon ont permis d’égrener plusieurs décennies d’aventures targaryennes. Rendez-vous le 17 juin pour la saison 2 !
Commentaires (17)
J'ai été contente de revoir Jack, d'avoir des références des anciennes saisons, et le plan du Docteur était pas mal : battre les Daleks avec d'autres Daleks, c'est bien trouvé. Mais comme d'autres, j'ai trouvé que tout allait trop vite, ce qui est dommage.
Le fait de revoir le capitaine Jack et de ré-entendre le nom de Gwen Cooper j’ai été surpris que la BBC commence à refaire référence à Torchwood ✨
Bonjour ! Ou avez vous trouvé l'épisode spécial ?? Je n'arrive pas a le voir :'(
Bon, je ne sais pas trop comment me positionner face à cet épisode, il y a du bon et du moins bon. Mais j'en ressors avec le même état d'esprit que m'ont laissé les saisons 11 et 12. Des bons acteurs, des histoires intéressantes, mais il manque ce petit souffle épique qu'avaient les saisons précédentes. La sauce prend moyennement... Dans les choses positives, il y a la partie dans la prison. C'est clairement quelque chose qui aurait mérité d'être raconté davantage, et j'avoue que le fait de revoir des ennemis comme le Weeping Angel, le Ood, le Sycorax, le Pting ou le Silent est très sympa, ça donne de la continuité par rapport aux personnages précédents, tout comme le fait de mentionner Rose et Gwen Cooper. D'ailleurs, j'étais vraiment ravie de revoir Jack Harkness ! J'étais en colère après un article que j'ai lu sur le Web, dépeignant ce personnage comme étant de l'ère de 10. Alors, évidemment, OUI, il fait partie de l'époque de David Tennant. Mais il est AVANT TOUT un personnage qui a démarré pendant l'ère de 9/Christopher Eccleston, EXCUSEZ-MOI ! Arrêtez d'invisibiliser Eccleston et son Docteur, c'est grâce à lui que la série à pu revenir sur les écrans !! Pardon, je m'emballe toute seule. BREF. Tout ça pour dire que revoir Jack Harkness, ça me renvoie à Nine, qui est mon Docteur préféré, aux premières rencontres avec les Daleks, à mes premiers frissons et larmes avec la série. (Par contre, je me demande : est-ce que pendant l'évasion de la prison, Jack se serait permis d'agripper le Docteur comme ça pendant la fuite si ça avait été un des Docteurs précédents ? Ce n'est pas parce que il/elle a un corps de femme qu'il faut l'aider à ne pas perdre l'équilibre, l'agripper par la taille, etc. Mais bon, je pinaille peut-être.) Même si j'aurais préféré voir d'autres ennemis du Docteur plutôt que resservir une énième interprétation des Daleks, et que le plan du Docteur aurait mérité d'être davantage vu à l'écran, la manière de les vaincre était plutôt habile. Les purs contre les impurs, ça résume bien toute leur identité. Et les voir en-dehors de leur coquille : toujours aussi creepy ! Donc, je dirais que c'est ça le plus gros point négatif, que ce soit dans cet épisode ou dans les deux saisons précédentes : tout va trop vite, ce n'est pas assez fouillé, assez détaillé, et on n'a pas vraiment le temps de ressentir une implication pour les personnages ou l'histoire. Au niveau des personnages, j'avais vu que Ryan et Graham allaient quitter le Tardis, donc je n'étais pas surprise. Et même si j'ai eu un pincement au cœur de les voir partir, je n'ai pas non plus été plus émue que ça... J'étais davantage attachée au personnage de Bill dans la 10ème saison, malgré le fait qu'elle ne soit restée qu'une seule saison, au contraire de Ryan et Graham qui sont restés deux saisons mais qui ne m'ont pas vraiment "impactée". Et ils ont eu une belle fin, et des personnages qu'on pourrait même revoir à l'occasion, que ce soit vite fait avec des enquêtes croisées avec le Docteur, voire même si ils intègrent un nouveau Torchwood avec Jack ! (On peut toujours rêver pour voir la réapparition de Torchwood à la TV :P !) Donc voilà, des personnages sympathiques mais pas mémorables qui ne me manqueront pas plus que ça. J'aurais peut-être d'autres choses à dire, mais voilà tout ce qui me vient à l'esprit, à chaud.
Un épisode spécial pas à la hauteur de la saison 12. J'ai eu pendant l'épisode l'impression d'avoir manqué plein d'informations durant la saison (mais en fait non). L'invasion et le combat des Daleks et pseudo-Daleks passent trop vite au second plan, la solution et l’exécution du plan doivent à peine prendre plus de 3 minutes, Jack est l'ombre de lui-même. Quand au docteure, elle devient de plus en plus pathétique. Merci pour cette image de femme engluée dans ses émotions. L'épisode finit en pseudo mélo peu crédible. Bref, un épisode qui s'oublie très vite. Quel dommage !
j'arrive pas a voir l 'épisode comment je dois faire ?
Mouais... J'apprécie la manière dont le Docteur bat les Daleks, et Ryan a enfin un peu de développement, mais c'est juste pas assez bon. Beaucoup d'occasions manquées. La prison des Juddoons, c'était une super idée. L'épisode aurait gagné à être plus long. Mon autre gros problème est l'absence de développement de personnage pour le Docteur. C'est beaucoup mieux qu'au début, et je dois avouer presque l'apprécier (même si l'absence de belles répliques m'agace), mais c'est juste pas assez bien pour le Docteur. Avec ce personnage, le potentiel est infini, et ils décident quand même de raconter une histoire déjà vue, sans approfondir le personnage plus que ça. Les Docteurs précédents avaient beaucoup de personnalité parce qu'ils avaient des conflits intérieurs, mais ce Docteur n'en a pas. Bien sûr, c'est frustrant de ne pas connaître son propre passé, et on nous a dit qu'il avait passé des années dans la prison, mais ce n'est pas un conflit! Et si le Docteur se demandait s'il avait fait du mal mais l'avait oublié? Et si sa découverte mettait en danger tous ses compagnons? Mais non, le Docteur est juste "énervé". Et s'il ne savait plus comment contenir sa rage, le poussant toujours plus loin? Et s'il ne se reconnaissait plus? Mais non... C'est trop demander, j'ai l'impression. Bref, assez moyen, avec une ou deux bonnes scènes, mais trop d'occasions manquées, comme d'habitude avec Chibnall.
Il faudrait changer la date du coup non ? Comment fait-on ?
Merci pour l'info, ça va être long. Elle est courte cette semaine
Prévu pour Noel 2020