Columbo et sa femme sont en croisière sur un paquebot, ils ont gagné une croisière. Mais un crime est commis à bord du navire : un passager, Hayden Danziger, assassine Rosanne Welles, une chanteuse qui devait se produire sur scène au cours du voyage et qui le faisait chanter. Il s'arrange pour produire un alibi irréfutable et faire accuser le musicien Lloyd Harrington...
Mis à jour du 8 janvier : le programme est désormais disponible sur TF1+ !
La bonne surprise de ce début d'année, c'est d'avoir Poker Face disponible en France. Les deux premiers épisodes sont en ligne et la suite hebdomadairement sur la plateforme !
L’une des avant-premières très attendues du festival de télévision de Monte-Carlo de cette année était celle de Poker Face, le drame policier de Rian Johnson commandé par Peacock outre-Atlantique qui est en compétition officielle. Après nous avoir régalé avec ses À couteaux tirés et Glass Onion, le voici de retour dans le whodunnit avec Poker Face. Chaque structure d’épisode suit le même schéma, un préambule où quelqu’un meurt, l’héroïne déjà sur place va tenter de résoudre le meurtre non pas par conscience professionnelle mais parce qu’elle est humainement impliquée dans la communauté. Les deux premiers épisodes ont été diffusés au festival et sont délicieusement frais.
Commentaires (3)
Pour les amateurs, l'un des épisodes les + mythiques pour moi du perspicace lieutenant avec Double exposure et Symphonie en noir. Un casting de prestige avec Robert Vaughn, Patrick McNee et Dean Stockwell, la fameuse Madame Columbo que l'on ne voit jamais, le fameux détail en tout début d'enquête qui pointe direct le tueur aux yeux de Columbo (la plume d'oreiller devant la porte de la chambre de l'infirmerie), la proximité toute en subtilité de Columbo avec sa proie, et cerise sur le gateau, un décor extérieur original de croisière qui rappellera bien entendu Love Boat aux aficionados des séries 70's. Un chef d'oeuvre qui m'avait marqué enfant
Le plaisir de suivre Columbo est là même si tout est entre facile et tiré par les cheveux… Il faut un nombre hallucinant de planètes bien alignées pour que le meurtrier soit à l’infirmerie, que l’infirmière lise le dos tourné, qu’il ait pile le temps du trajet sans voir personne, que la chanteuse n’ait pas changé d’avis ce soir-là, qu’elle n’ait pas été accompagnée (et c’est moche de pas avoir de loge à côté de la scène ou plus près…). Mais il faut vraiment qu’il manque carrément de chance pour qu’une plume s’accroche à lui jusqu’à la porte de sa chambre alors qu’il a changé d’habits sur le chemin… Bref, tiré par les cheveux mais bien tenu et agréable à suivre quand même pour la perspicacité de Columbo et sa façon de manipuler ses suspects !
Je trouve que le crime repose sur trop de chance pour que cela fonctionne C'était tout de même intéressant de voir Colombo en dehors de territoire