À la guerre

Mise à jour du 8 janvier 2024 : le programme est désormais disponible sur TF1+ !

Avec Télé 7 Jours, découvrez le programme qui fait l’actu à la télévision. Un an et demi après ses dernières tribulations, Clem (Lucie Lucas) est enfin de retour sur TF1 et disponible sur TF1+ avec un prime exceptionnel ! Et ça valait le coup d’attendre : ce double épisode, qui démarre par les préparatifs de son mariage avec Matthieu (Loup-Denis Elion), sonne en effet l’heure des retrouvailles avec sa meilleure amie, Alyzée (Élodie Fontan), et convoque le souvenir de sa défunte mère, Caro (Victoria Abril), dont elle va découvrir le dernier secret à la faveur d’un voyage au Canada... Une épopée enlevée, émouvante et joliment ficelée en guise de cadeau pour les fidèles : « Après douze saisons, on cherche à se renouveler pour faire plaisir aux fans et séduire de nouveaux téléspectateurs », explique Fabrice Renault, le producteur. Et de poursuivre : « Clem, c’est vraiment une famille. On a gardé le contact avec tous ceux qui sont partis. Nous avions donc envie de les réunir et de retrouver plusieurs personnages... »

Élodie Fontan, Philippe Lellouche (Xavier) et Victoria Abril ont tous les trois répondu présents. Leur seule condition ? « Revenir pour une véritable histoire et pas juste pour un clin d’œil... » Un vœu exaucé, chacun ayant une belle partition à défendre. C’est particulièrement le cas pour l’impeccable Victoria Abril, bien servie avec de multiples séquences drôles ou poignantes, qu’elle éclaire de sa fantaisie. De quoi consoler l’actrice, qui s’était émue du départ de Caro, son alter ego, expédiée à la fin de la saison 7 : « Ce n’est jamais facile de quitter une série. Mais peut-être qu’effectivement, on n’a pas tout bien fait, reconnaît Fabrice Renault. On voulait dire à Victoria qu’on l’avait entendue, avec des actes et pas des paroles. Avec cet épisode, on souhaitait aussi rendre hommage à son implication et lui permettre de faire ses adieux. » Lesquels ne sont pas forcément définitifs : « Si on a d’autres bonnes idées, pourquoi ne pas la faire revenir ? »

Lire l'intégralité de l'article