L'annonce des noces précipitées d'Anthony bouleverse Kate, que Lady Danbury met en garde. Éloïse se querelle avec un nouvel allié. Un dîner suscite de vives émotions.
En avant-première au Geneva International Film Festival cette année, la série Big Mood en compétition internationale est venue avec sa créatrice, Camilla Whitehill, qui nous parle de la genèse du projet. Cette dramédie en six épisodes vient proposer une histoire ancrée dans le réel qui vous fera sourire.
L'idée de Big Mood a germé dans l'esprit de son autrice bien avant qu'elle n'ait l'opportunité de développer une série. "J'ai toujours voulu écrire sur l'amitié féminine, car c'est un sujet qui me passionne profondément," explique-t-elle. "L'idée a toujours été d'explorer cette amitié avec la complexité de la maladie mentale," précise-t-elle. La série suit deux amies dans leur trentaine, Maggie et Eddy, alors qu'elles naviguent dans les eaux parfois tumultueuses de la vie adulte, le tout avec une dose généreuse de comédie et une sincérité désarmante. Nicola Coughlan en tant que Maggie est atteinte d’un trouble de la bipolarité, et Lydia West en Eddy la soutient tout en ayant ses propres problèmes. Ensemble contre tout, mais parfois contre elles-mêmes puisqu’elles doivent surmonter des obstacles pour préserver leur amitié bousculée par la maladie mentale.
Camilla Whitehill souligne que la série ne cherche pas seulement à divertir, mais aussi à briser certains stéréotypes sur l'amitié et la santé mentale. "Personne n'est parfait, et soutenir un ami dans le besoin peut être compliqué," confie-t-elle. La série reflète cette réalité avec une honnêteté brutale, mais toujours empreinte d'une touche d'humour. Lorsqu'on lui demande comment elle a réussi à insuffler autant d'authenticité à Big Mood, Camilla répond en toute simplicité : "Je me suis inspirée de ma vie et de mes amis." Chaque dialogue, chaque interaction, respire le vécu dans le Londres haut en couleurs. Cette authenticité n'est pas le fruit du hasard, mais le résultat de nombreuses années de travail et de perfectionnement. "Avant d'avoir ma propre série, j'ai eu le temps de peaufiner mon écriture, et je pense que cela se ressent dans les personnages," ajoute-t-elle.
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Commentaires (8)
Et il l’a cru !!!! Cela fait peine à voir. Sinon magistral Anthony lors du repas qui renvoie les grands-parents se faire oublier de là où ils venaient.
Cette épisode m'a rendu officiellement amoureux d'Anthony Bridgerton avec sa sortie tout mouillé du lac j'ai adoré. En dehors de ça j'ai adoré la scène du diner ou on en apprend un peu plus sur le fameux pacte avec les sheffields et avec cette fin d'épisode j'attend qu'une chose qu'Anthony et Kate se mettent ensemble. Heureux aussi qu'on est un peu plus développé le personnage de Bénédict
Donc on en apprends un peu plus sur le deal avec les Sheffields. Mais si Kate n’a rien dit à Lady Mary, comment elle l’a convaincue de revenir à Londres pour marier Edwina? Et même si Kate avait décidé de s’occuper des finances, elle reste la mère de famille, elle aurait dû être un peu plus impliquer !!! Au lieu de faire la surprise maintenant
HOOOOOT
Un peu déçue par cette deuxième saison pour l’instant. J’espère que les 3 derniers épisodes rattraperont ça 🤞🏻
Anthony Bridgerton 💖
"You are the bane of my existence and the object of all my desires" Quelle réplique et quelle scène ! neur Sharma, qu'importe que ce soit pour Kate, Edwina ou leur mère. Il est bon qu'Edwina sorte (un peu) de sa naïveté, elle est au courant pour l'accord avec les Sheffield et prend un peu plus "d'épaisseur", loin de le jeune fille innocente qu'on dépeint depuis le début. Mais comme il reste encore u, bon gros secret en dessous, elle continue à être le "bouffon" de l'histoire, c'est dommage car ça ne permet pas de l'apprécier à sa juste valeur je pense...
Excellent Anthony. Que les hommes en prennent de la graine.